1. Sens dessus dessous et à l'envers aussi


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, copains, école, humilié(e), cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... Attends. Ça va être cool, crois-moi, dit-il en faisant un pas vers moi. Sa queue dépassa alors de l’entrebâillement de sa porte. Elle pendait devant lui, épaisse, peut-être plus que la mienne, tiens, alors que moi je bandais encore comme un perdu d’avoir vu passer la bombe sexuelle qui attendait alors dans le lit de mon pote.— Manu ? Dit-il.— Quoi ? Heu.. oui, non. Non. J’ai des cours, moi. Et puis je tiens pas spécialement à passer où tu es déjà passer. Moi, ce genre de choses, je les fais en tête-à-tête.— Ok, tant pis pour toi. Mais rêve pas, je laisse pas mes nanas seules dans ce genre de plan. Si tu la veux un jour, je serais là aussi.— C’est ça. Hé ben c’est pas pour demain. Eclatez-vous bien.— C’est ton dernier mot ?— Oui Jean-Pierre.— Moi, je voulais juste te rendre service. Sa queue semblait commencer à se dresser un peu lorsque je mis un terme au débat. — Non, c’est non, merci. À ce soir.— À ce soir. Bonne journée.— C’est ça, c’est ça, me dis-je tout bas en le regardant disparaître, lui et son sexe énooorme. Au moment de partir, j’entendis un grand éclat de rire d’Hélène. La journée fut très encourageante : je parvins à me poser, dès la première heure, dans l’amphi près de Chloë, seule. Estelle était malade. Nous commencions à mieux nous apprécier et je pouvais lui parler ouvertement, mais sur le ton de la plaisanterie, de la situation grotesque qui était la mienne. Je dressais un portrait de moi, éploré, pas heureux et pas aimé, vivant aux cotés d’un Don Juan ...
    ... réincarné qui aurait un soupçon de Rocco Siffredi en lui (ou sur lui pour être précis.) Chloé s’amusait beaucoup de mes déboires et j’obtins d’elle de manger ensemble à midi. La journée se poursuivit ainsi, excellente, nous ne cessâmes de parler, d’échanger un peu de nos vies. Elle logeait seule et n’avait pas d’amants ; deux informations que je retenais aisément. J’attendais impatiemment la journée du lendemain. Lorsque je revins à l’appartement, il était vide. Ulrich et sa pouliche de compétition étaient partis sous d’autres ciels de lits. Je bossais un peu, mangeais ma part de pizza et m’enfonçait, nu comme toujours, dans mon lit froid. J’attrapais mon bouquin d’Anne Rice sur une version hard de la Belle au Bois Dormant qui vit dans une cour de luxure. Fouettée, humiliée, prise chaque heure du jour selon les bons vouloirs de ses maîtres. Je lus quelques chapitres, suivant ses péripéties érotiques et celles de ses compagnons d’infortune, de jeunes princes soumis aux volontés de leurs supérieurs.. Je lisais d’une main, cela va de soi, l’autre parcourant de bas en haut ma verge suintante. Je prenais mes couilles dans la paume de ma main, remontait le long de la hampe de chair en massant doucement. Je pris soin de ne pas me faire jouir tout de suite. Je voulais simplement que mon excitation atteigne un paroxysme avant de poser mon livre et de me concentrer sur mon plaisir. Lorsque ce moment vint, j’écartais les draps pour être à l’aise et laissait mes pensées s’insinuer dans ...
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