Sens dessus dessous et à l'envers aussi - Histoires de Sexe

Sens dessus dessous et à l'envers aussi

... l’intimité de Chloé. Cette fille me faisait rêver. Ce soir-là, je décidais de la prendre debout, ses bras attachés à une poutre. Recyclant une des scènes du livre, je la fessais d’abord, ajoutant quelques couleurs à l’arrondi de son petit cul puis lui écartait largement les cuisses pour la pénétrer lentement, en savourant chaque centimètre de progression. Ma mais s’activait sur mon sexe, je sentais monter ma jouissance, rapidement, puis j’eut la vision du décolleté de Chloé dans lequel mes mains pourraient plonger. J’étais sur le point de me répandre lorsque j’entendis : — Tu veux un coup de main ?— P… ! Je ne parvins pas à articuler mon juron, attrapant fébrilement mon drap pour le rabattre sur ma virilité douloureuse. Ulrich me matait, la tête dans l’ouverture de ma porte, souriant, mais d’un étrange sourire.— Putain, mais tu te crois où !? On t’a pas appris à frapper avant d’entrer ?!— Oh, ça va. Désolé. Je passais juste dire bonne nuit. Tu seras pas embêté cette fois. J’ai décidé de dormir seul. Ce disant, il s’avançait dans la pièce, comme si de rien n’était. — Hé ben allez, fais comme chez toi.— Je regarde juste si t’aurais pas un truc à bouquiner, expliqua-t-il en allant vers ma table de nuit. Je récupérais en hâte le livre d’Anne Rice qui traînait. — Bon, ben regarde vite fait et barre-toi.— C’est quoi ce livre que tu veux me cacher ?— Un truc d’Anne Rice. Tu sais, les vampires.— Ha ouais. Il se pencha, fouilla dans ma pile de revues et de livres divers. Ce serait ...

... pas plutôt la Belle au bois dormant qui se fait sauter derrière toutes les portes du château par hasard ? Je restais un temps sans voix. — Tu fouilles chez moi, maintenant ? Mais tu m’emmerdes, Ulrich !— Allons, allons.. Un sourire aux coins des lèvres, il me regarda dans les yeux et ajouta : j’arrive au mauvais moment, c’est tout.. Je sentis soudain sa main se refermer sur ma queue raide. Je peux t’aider, fit-il. Mon réflexe fut de poser ma main sur les draps, ne faisant de la sorte qu’affermir la prise d’Ulrich sur moi.. — Putain, lâche-moi tout de suite.— Allez..— Mais t’es pas bien, lâche-moi, bordel (je sais, je jure beaucoup.) Je suis pas une de tes putes, si t’as des envies tu sais très bien te débrouiller tout seul. Il me lâcha enfin et se releva avec une revue quelconque. — Je prends ça. Je n’eut rien à dire. Il sortit en me souhaitant une bonne nuit. Je restais décontenancé. Ulrich était… il était bi ? Ma pensée divaguait un peu tellement ma surprise était grande. Puis j’en vins, comme de juste, à me demander s’il était passif ou actif, ce genre de choses. Je me demandais si ses copines mettaient des godes-ceintures pour le sodomiser ou si, si, si… Machinalement, j’avais recommencé à me branler, doucement. Mon corps n’avait pas eut ce qu’il attendait et malgré cette interruption, mon excitation n’était guère retombée. Je voulais en finir vite. Je retrouvais Chloé et cette fois je voulus que ce soit brutal. Toujours attachée, je pris ses petites fesses à pleine main et ...