1. Toucher le fond


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fhh, inconnu, voiture, Oral préservati, fsodo, mélo, occasion, bourge,

    ... Tu as des préservatifs Marcel ? Ma voix le fait sortir de sa torpeur. Il ouvre une boîte à gants et en sort un qu’il a tôt fait d’enfiler. Je me tourne vers le passager, ouvre sa braguette et en tire son sexe. Je sens les mains de Marcel, derrière, sous ma jupe. Puis la pointe de sa queue cherche le chemin. Je relève ma jupe jusqu’à ma taille découvrant mes fesses grasses. D’une main je tire sur la chair intérieure d’une cuisse pour libérer un passage dans lequel il s’engouffre. Son gland trouve l’entrée de mon sexe et d’une poussée il me pénètre. Son préservatif est lubrifié. Tant mieux. Je me penche sur le passager et commence ma fellation. Le gars pousse un soupir d’aise. Je me doute que son regard doit être rivé à mes fesses entre lesquelles s’agite son copain Marcel. Je vois la scène comme si je n’en n’étais pas actrice. Un détachement total. Ma belle-sœur serait folle de joie : je fais la pute. Un rugissement de Marcel, un coup de boutoir plus fort que les autres et je le sens qui se vide en moi… Je relève la tête, relâchant le sexe dressé que je suçais consciencieusement. Je prends un préservatif dans la réserve de Marcel et l’enfile au gars qui ne bouge plus. Nouveau demi-tour. Je ramène mes fesses vers lui et ma tête vers Marcel. Le gars ne perd pas de temps et à peine suis-je en position qu’il est en moi. Je regarde le sexe de Marcel qui est sous mon nez, mollasson et toujours habillé du préservatif. Je l’ôte et jette le bout de latex sur le sol de la cabine. Ah ...
    ... Marcel, il faudra nettoyer demain… Puis je prends son sexe entre mes lèvres. Le goût du sperme envahit ma bouche. C’est dit, ce soir je toucherai le fond. Dans mon désespoir une pensée gaie. Je pourrai expliquer mon retard à ma belle-sœur par le fait que je suçais des routiers. Me traitera-t-elle de menteuse ? Le sexe de Marcel a maintenant repris de la vigueur, tandis que son collègue semble pris de frénésie. Il me martèle en ânonnant : — Tiens salope, tiens salope, prend ça, et ça… Et ça s’arrêtera là car je le sens exploser dans ma chatte. — Vingt dieux, ça fait du bien par où ça passe ! Un fin poète… Il me met une claque sur les fesses, retire son préservatif et referme sa braguette. Il ouvre la portière, sort et referme. Je présume que maintenant il va téléphoner à sa femme et lui jurer son amour éternel. Je suis cynique mais la vie de m’a pas fait de cadeaux. Je relâche la pression de mes lèvres sur le membre de Marcel, me redresse, et me mets à quatre pattes sur la banquette, la tête contre la vitre passager. Je relève ma robe qui avait glissé et offre mon derrière, trop charnu et trop mou, à la concupiscence de Marcel. Il n’hésite pas. Après avoir mis un nouveau préservatif, il se met à genoux sur la banquette derrière moi. Il écarte mes fesses lourdes et m’enfile sans effort. Je pense à une vieille blague sur notre position : en levrette tous les culs sont beaux, on ne voit pas la tête du partenaire et on n’est pas obligé de sourire. Sourire, je suis bien obligée de le ...
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