1. Toucher le fond


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fhh, inconnu, voiture, Oral préservati, fsodo, mélo, occasion, bourge,

    ... velues à l’abri sous sa panse de buveur de bière. — Tu as un coup à boire ? Il cligne de l’œil. — Du bon… Il fouille dans sa contreporte et me tend une bouteille plate. — 18 ans, il est majeur… Je bois une gorgée directement au goulot. Effectivement ça change du whisky premier prix. Lui, il se branle pour préparer la bête. Je reprends une deuxième gorgée. — Va sur la couchette ! Je passe entre les deux sièges. Derrière se trouve une couchette de la taille d’un lit. Il vient m’y rejoindre, des billets à la main. Il a dû prendre toute la caisse de bord car il y a des billets de toutes valeurs. Mais il y a bien trois cents euros. Réglo. J’ôte mon manteau. — Non, dit-il, à poil. Je fais passer ma robe au-dessus de ma tête, dégrafe mon soutien-gorge et range le tout sur l’oreiller. Il est debout entre les deux sièges et se masturbe doucement. De sa main libre il caresse mes seins. Puis je me penche, écarte sa main et la remplace par la mienne. Puis je commence à le sucer avec entrain. Il regagne sa rigidité assez rapidement. Je le lâche et il met un préservatif. Je reprends son sexe emmailloté et je me remets à le sucer en prenant soin de l’enduire de ma salive. Quand je le juge à point je me mets en position sur les genoux, croupe basse, la tête sur mes vêtements. De ma main je recueille de la salive que j’étale sur mon anus. Et, le cul offert, j’attends. Pas longtemps ! Il s’approche à genoux. De mes deux mains j’écarte mes fesses, dévoilant l’entrée de mon cul. Il pose son ...
    ... gland sur mon anus et se met à pousser. Je serre les dents. Je ne crierai pas. Il continue sa progression. Il est vraiment gros. La douleur me tire des larmes des yeux mais je ne dis rien. Enfin je sens son bas-ventre écraser mes fesses. Il est entré en entier ! Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est la première fois que j’ai une bite dans le cul. Considérant cette pratique d’une vulgarité extrême, j’avais toujours refusé à mon mari l’entrée de mes reins. Reins qui sont aujourd’hui investis par la grosse queue d’un routier inconnu. La vie a de ces facéties… La douleur s’est atténuée, ne reste que la gêne de sentir cette queue dans mon intestin. L’homme se met à bouger. Il se retire presque puis me réinvestit lentement. Je sens qu’il veut profiter de l’instant le plus longtemps possible. Trois cents euros ! Il en veut pour son fric. Il accélère ses va-et-vient, essayant de profiter de toute sa longueur. J’accompagne mollement le mouvement. À un moment il sort entièrement de mon anus pour mieux le pénétrer, sans douceur cette fois-ci. Mais mes chairs se sont assouplies probablement. Je n’ai plus de douleur et quasiment plus de gêne. Ce n’est pas agréable, pourtant je suis excitée à l’idée que je me fais enculer par un inconnu et pour de l’argent. Je glisse une main entre mes cuisses et commence à caresser mon sexe vide. Mon partenaire continue à me pilonner le cul et je sens à ses mouvements de plus en plus rapides et à son halètement de locomotive qu’il est proche du ...
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