1. Après la sangria


    Datte: 30/05/2020, Catégories: fh, couple, vacances, hotel, amour, Oral

    ... doux comme une danse délicate et puissante à la fois. Une danse aux tourbillons enivrants, avec des relents de Rythm and Blues qu’auraient débauché une valse. Puis, toujours plus près, j’embrasse ses grandes lèvres pour que Tina perçoive bien ce dont j’ai tant envie. Elle supplie : — Vas-y, Rocco. C’est là ! Mais je ne cède pas. Je veux encore prendre le temps de choisir l’instant merveilleux o๠ma bouche ira enfin la goûter vraiment : ce n’est pas un hamburger que je convoite, mais c’est celle que j’aime ! Je la torture, juste de part et d’autre du cœur de son désir. Il palpite en prenant une couleur de plus en plus vive, en exhalant un parfum de plus en plus enivrant. Tina frémit à chaque pression de ma langue et à chaque caresse de mon souffle quand je passe au-dessus de son clitoris. Même pour moi c’est terriblement efficace ce ballet de caresses. Je bande comme un étalon tellement j’ai envie de son sexe ! Elle roule de plus en plus les hanches et elle agrippe mes cheveux. Je crois que je peux la goûter à présent. Je glisse mes mains sous ses fesses, je porte ses lèvres mouillées jusqu’à ma bouche et je la touche enfin infiniment, profondément, passionnément ! J’ai l’impression de prendre Tina tout entière dans ma bouche. Les sifflements de son souffle de surexcitée nous affolent tous les deux pour de bon ! Ses mains torturent les draps, agrippent furtivement ma tête, puis se referment à nouveau sur le tissu. Elle crie, maintenant : — Prends-moi. Je t’en supplie, ...
    ... prends-moi ! Elle tire mes cheveux, pour plaquer encore plus ma bouche sur son sexe. Peut-être aussi, parce qu’elle a envie de sentir ma langue rentrer encore plus loin dans son vagin ? Ou pour que je mange et que je suce son clito encore plus fort ? C’est la deuxième proposition qui est la bonne et même la plus délicieuse pour tous les deux : non seulement je la suce, mais je la lèche aussi intensément, pour son plus grand plaisir ! J’y vais à grandes traînées de ma langue, en va-et-vient de son clitoris à son petit trou, en labourant sa vulve au passage. Maintenant son ventre est agité de secousses violentes qui hachent sa respiration haletante de hoquets éperdus. Tina agrippe ma tête à deux mains. Et même si c’est inconscient, elle sait ce qu’elle fait. Elle sait que ses mains sur ma tête décuplent mes désirs. Je tremble, tellement j’ai envie d’elle ! J’ai maintenant dix langues pour elle et je la mange à pleine bouche, puis du bout de mon souffle, puis à pleine langue, dans son sexe trempé, pendant que mon index la surexcite en pressant son clitoris à petites pressions saccadées. J’ai du mal à me retenir pour ne pas mordre son clitoris tellement je suis jaloux de lui, tellement je bande ! Tina feule la bouche grande ouverte, la tête renversée à l’arrière et les seins tendus vers le ciel. Je n’en peux plus ! Je veux qu’elle jouisse ! Il faut qu’elle se torde, que ses poumons résonnent infiniment de son orgasme, de cette vague, de ce cri qui monte du plus profond de son ventre ! ...