1. LE MARIN. Et les pics assiettes. (3/4)


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Après avoir soûlé l’homme qui jouait les pics assiette avec sa femme, Robert mon cousin pompier et moi Marin en permission sommes en train de le punir par l’intermédiaire de sa femme Espoir à qui nous avons fait l’amour pendant qu’il est retourné travailler en Espagne où il conduit un chantier de construction. Actuellement, nous descendons dans le métro alors qu’elle a simplement sur son dos un imperméable avec des talons hauts. D’une manière sous-jacente, je ressens qu’elle est aussi soumise à son homme qu’elle l’est avec nous après qu’elle nous est expliquée, comment elle l’a connu et comment il l’a entraîné à devenir des pics assiettes. Elvis hormis le fait qu’il prend son pied à gruger ses interlocuteurs adore l’exhiber près d’autres hommes plus puissants que lui. À la longue, elle-même y a pris goût, car chaque fois qu’il lui dit savoir la date d’une soirée, elle aime à aller dans les réserves de vêtements des studios de Boulogne-Billancourt où elle a une amie qui discrètement lui prête ce qu’elle veut pour le week-end comme vêtements. Nous prenons le métro station porte de Saint-Cloud, Robert connaît le parcours qu’il souhaite nous faire prendre. Dès que nous entrons dans la rame, la foule à cette heure est clairsemée et nous plaçons Espoir, debout à une barre où il y a déjà deux hommes. Nous rejoignons la barre d’après et nous observons le trouble qui semble gagner la petite de ce savoir offerte à nos regards et surtout au regard des autres. À Michel ange Auteuil ...
    ... station croisant une autre ligne, peu de monde quitte la rame et un grand nombre de passagers montent. L’un des deux hommes déjà là se déplace légèrement près des fesses de notre amie comme si la foule l’en obligeait. À quatre mètres de là, nous sommes mal placés pour voir ce qui se passe surtout au bas des corps, mais la rougeur qui monte à ses joues nous confirme que l’homme doit agir vers son intimité. Nous voyons notre copine porter la main à son revers d’imper et lorsque le métro s’arrête, nous entendons un cri. L’homme descend précipitamment portant sa main vers son intimité. Je vois Espoir rattacher un bouton de son imper qui semble, c’être malencontreusement ouvert. En même temps, elle replace ce qu’elle a pris dans le revers de son imper. Bizarrement un certain vide, c’est fait autour d’elle. Avant que mon cousin ne s’aperçoive de mon mouvement, je la rejoins me place comme l’homme derrière elle et la colle contre la barre. Nous nous arrêtons à une station et le wagon se remplit. Je passe ma main par-devant et j’ouvre le bouton qu’elle vient de remettre. Je trouve sa chatte qui aime me recevoir et je peux constater que toutes ces péripéties l’ont fait énormément mouiller. Je relèverai bien son imper pour lui caresser les fesses, mais nous arrivons à la station Miromesnil où nous devons descendre pour un changement. Dans le couloir qui même à l’autre quai, elle nous montre la petite aiguille qu’elle porte toujours sur elle dans le métro comme sa mère lui a appris à le ...
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