1. LE MARIN. Et les pics assiettes. (3/4)


    Datte: 01/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... porte s’envolent un à un et terminent les seins dénudés et la chatte simplement recouverte avec un carré de feutre noir qui cache le minimum sauf ses grandes lèvres qui semblent bien développer. C’est le moment où la musique s’arrête que la lumière s’éteint et qu’une voix nous demande d’applaudir. C’était Tania jolie fille originaire de Budapest où elle a travaillé dans les plus grands cabarets recommencés à l’applaudir. Un temps d’arrêt toujours dans le noir. La même voie nous annonce. Venu des États-Unis pour votre plus grand plaisir la merveilleuse, la pulpeuse Alexandra. La lumière s’allume et je suis presque déçu de voir sur la scène une rousse filiforme qui doit mesurer une tête de plus que moi. Je suis déçu, car j’avais cru qu’Espoir allait venir sur scène. Nous trinquons ensemble pendant le numéro de miss Amérique qui est peut-être née au fin fond de la Creuse, mais elle est tellement pro qu’elle sait nous faire bander. Le marin et le pompier semblent être son centre d’intérêt jusqu’au moment où elle descend de la scène vient s’asseoir sur ma tige, car je bande comme un taureau. Ce doit être une ancienne dans la boîte pour venir au contact avec le public chose que les filles évitent de faire, car les mœurs sont très strictes avec les boîtes à strip et les maisons de passes. Au moment de remonter sur scène, elle fait le geste interdit, elle me prend mon bachi, le pose sur sa tête avant de s’en servir chaque fois qu’elle enlève une partie de son vêtement pour cacher ...
    ... soit un sein soit l’autre, devant ses yeux pour nous regarder d’un air coquin en le déplaçant à droite puis à gauche et pour finir par le plaquer devant sa chatte ayant enlevé son string qu’elle balance vers moi. Je pense qu’elle va en rester là lorsqu’elle place rapidement sa main et arrache son carré noir qu’elle jette derrière elle. Les clients sont debout à l’applaudir lorsque la lumière va s’éteindre d’où je suis placé, elle fait bouger mon bachi et j’ai le temps de voir une belle touffe aussi rousse que sa chevelure. Comme pour Tania miss Amérique a droit à des applaudissements très nourris. Lumière éteinte la voix reprend. Venue spécialement pour nous d’une banlieue huppée de Paris spécialement pour vous voici Débora. D’un pas hésitant Espoir entre sur scène. Ils l’ont fringué comme une vraie pute avec un maquillage outrancier. Est-ce pour la rassurer, mais ils lui ont laissé son imper. Elle se trémousse de droite et de gauche parfaitement ridicule au point que des clients la sifflent. Elle est à deux doigts des larmes lorsque j’applaudis suivi par Robert qui entraîne la salle et galvanise notre jolie poupée qui s’enhardit. Pour une première fois, le patron a évité qu’elle se serve de la barre en plaçant une chaise sur la scène. Elle découvre une épaule puis l’autre, jusqu’à faire tomber son imper, nous faisant découvrir son corps presque parfait. Je dis presque parfait pour éviter d’être targué de chauvinisme. Elle s’assoit et sur un coup plus fort de la batterie, elle ...