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LE MARIN. Et les pics assiettes. (3/4)
Datte: 01/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... écarte largement ses jambes. Les mêmes tables qui sifflaient commencent à applaudir. Espoir est plus dans le rythme de la musique en se trémoussant assise frottant ses fesses que je sais mutines et bien fermes sur le velours. Tous se passent bien et en écartant ses cuisses, elle dévoile son petit triangle noir. Ceux où celles qui lui ont placé l’ont réduite à la limite de la réglementation légèrement plus grand qu’un timbre-poste. Assise sur cette chaise les jambes écartées, j’ai bien envie de sauter sur scène pour lui planter mon vit qui tend mon pantalon à en faire sauter les quatre boutons. Celui qui gère le projecteur manque de réflexes afin de couper la lumière lorsqu’en faisant un faux mouvement le triangle noir tombe au sol dévoilant l’intégralité de la vulve d’Espoir. Dans sa position ses jolies lèvres intimes sont ouvertes et le rose de son intimité est visible de toutes les tables. Les clients semblent croire qu’elle l’a fait exprès, ils sont debout et applaudissent à tout rompe. Le patron de la boîte vient vers nous s’assoit à notre table et fait signe à la serveuse de changer notre champagne. C’est la cuvée du patron qui remplace la pisse d’âne servi en temps normal aux clients. Il nous parle de la difficulté qu’il a à trouver des artistes de la valeur de Débora. Il nous propose de signer un contrat d’une semaine jusqu’au samedi soir qui est la fin pour moi de ma permission. Robert accepte précisant que demain c’est moi qui amènerais sa nouvelle employée. À aucun ...
... moment ce saligaud propose de demander à celle qui depuis ce matin nous donne un plaisir immense si elle est d’accord étant certaine d’avance que son plaisir à être soumise lui fera automatiquement dire oui. Deux fois encore jusqu’à minuit, elle repasse sur scène. Elle prend de plus en plus d’assurance et chaque fois à la limite de la légalité le carré noir tombe toujours fortuitement. La dernière fois c’est à la barre qu’elle s’essaye et du premier coup enflamme la salle, car ce sont lorsqu’elle a les jambes en l’air qu’elle écarte à 180 degrés qu’il tombe. Elle est la dernière à passer et le patron nous invite à venir dans les coulisses. Je comprends pourquoi Espoir a su rapidement se servir de cette barre, car il y en a une, près de leurs loges pour qu’elles s’échauffent. Espoir nous saute au cou toujours dénudé et est enchanté de la soirée que nous lui avons fait passer. Lorsque nous lui annonçons qu’elle a signé un contrat jusqu’au samedi soir compris. Elle a un mouvement d’arrêt, mais finit par sauter comme un cabri pour finir dans les bras de Viviane, la grande rousse miss America qui semble être devenue son amie et est originaire de la Motte Beuvron. Elle se douche et remet son imper. J’avais oublié que c’est le seul vêtement que nous lui ayons permis de porter. Viviane me rend mon bachi ignorant par ce geste qui me donne le droit quand l’occasion se présentera de lui toucher son petit pompon roux. Le patron apporte les enveloppes et remet à Robert celle d’Espoir. Il ...