Sylvia, femme d'action (2)
Datte: 02/06/2020,
Catégories:
Hétéro
... los Franceses ! » (on tient les Français !), et c’est menottés et sous bonne garde qu’ils furent conduits vers un camion en direction de la capitale. À leur arrivée, ils furent directement séparés des autres prisonniers qui partaient vers un « camp de redressement ». Sylvia et Thierry, eux, était embarqués dans une limousine blanche bardée de drapeaux officiels, direction le palais présidentiel. Pas rassurés pour un sou, ils furent conduits dans une salle ou trônait, derrière un grand bureau massif, un gros général bardé de médailles, genre Pinochet ventripotent à l’air patibulaire. Dessous ce meuble – qui était fermé – Sylvia distingua les orteils d’une jeune fille dépasser : visiblement, cet homme que Sylvia avait reconnu comme étant le général Alvarez, tenant le pays d’une main de fer, avait de la compagnie... Il se releva après s’être reculotté et avoir congédié la jeune fille à peine majeure et très court vêtue, lui ordonnant de l’attendre dans sa chambre. Il s’est approché d’eux avec un regard sadique et un sourire carnassier qui ne rassura personne. — Ainsi donc, voilà la jolie journaliste française qui, indirectement, nous a permis de trouver cette peste purulente que furent ces rebelles. — … — Toutefois, beaucoup d’entre eux nous ont échappé, et je suis sûr que vous pouvez nous dire où ils sont. — On n’a jamais rien su. Ils ne nous parlaient jamais. — J’en doute. Même si Sylvia ne savait pas où s’étaient cachés ceux qui s’étaient échappés lors de l’attaque du ...
... camp, elle n’avait pas l’intention de parler, ne serait-ce que pour protéger son petit bout que son père avait sauvé de l’attaque. En plus, le regard du général qui lui faisait face ne lui inspirait aucune confiance. — Où est Carlos ? — Je ne sais pas. — Où est-il ? — Je vous ai dit que je n’en savais rien. — Menteuse ! hurla-t-il avant de la gifler avec son gant blanc immaculé. Il se retourna brièvement pour poser ses gants sur son bureau. En revenant vers elle, il lui caressa la joue et déchira son tee-shirt au niveau du col pour lui palper la poitrine. Puis, d’un signe de tête, il commanda à deux de ses gardes de la maintenir à genoux. — Libre à toi de ne veux pas parler, mais tu risques de t’en mordre les doigts. Face à elle se tenait le gros bide du général. Elle avait devant les yeux la boucle de sa ceinture que le dictateur commença à défaire devant elle. Sylvia devinait ce que préparait son ravisseur, tout comme Thierry qui, voulant se débattre, s’était retrouvé maintenu au sol, un canon de fusil sur la nuque le temps que le gros homme en finisse avec la belle. Sylvia n’avait pas peur. Ces quinze mois en semi-captivité l’avaient changée, et s’il le fallait elle était prête à le mordre jusqu’au sang, quitte à lui arracher la queue avec les dents. Le général lui maintenait la tête d’une main, et de l’autre essayait de forcer sa bouche avec sa queue ; mais il s’arrêta quand elle lui cracha à la gueule. — Espèce de sale petite pute ! Je vais t’apprendre ! Plaquez-la sur le ...