1. Le petit facteur


    Datte: 04/06/2020, Catégories: fh, fplusag, volupté, Oral 69, pénétratio, ecriv_f,

    ... double épaisseur du collant et du fond de ma culotte. Il m’enveloppait bien, je sentais seulement ses doigts bouger doucement sur ma chatte que je sentais se gonfler pour la première fois depuis bien longtemps. J’étais complètement abandonnée, je le laissai faire et il profita de son avantage. Il prit ma main et la porta vers son sexe. Je sentis bien vite son excitation. Du bout des doigts, je caressai ce pieu de chair à travers la toile de son jean, je le sentis vibrer. Il avait une belle érection, j’avais envie de la voir. — Et si on allait plutôt dans ma chambre, je préfèrerais être à l’aise ?— Si vous voulez !— Allez, viens et appelle-moi Julie, je crois qu’on ne va pas tarder à être intimes ! Il me suivit, là où aucun homme n’avait encore pénétré. Après nous être regardés cinq secondes, nous avons commencé à nous déshabiller. Il enleva ses vêtements bien plus rapidement que moi et il fut nu alors que j’étais encore en collants et soutien-gorge. Il vint vers moi et me serra dans ses bras en murmurant qu’il avait envie de moi. Oh, je le sentais bien ! Sa queue était dressée sur son ventre, son gland cramoisi était à moitié décalotté, une petite goutte translucide perlait de la petite fente de son méat. Il s’écarta un peu de moi, regarda un instant ma poitrine cachée par un soutien-gorge noir à armatures. Il se mit à caresser les bonnets de dentelle, épousant la forme de mes seins, cherchant à agacer à travers le tissu mes tétons durcis, me donnant d’agréables petits ...
    ... frissons. Je passai mes mains derrière le dos et dégrafai le soutien-gorge, libérant mes deux globes laiteux qui n’avaient plus la même tenue qu’autrefois, mais qui ma foi lui firent de l’effet. Il se jeta sur moi, me coucha sur le lit et se mit à soupeser mes lourdes mamelles. Puis il se pencha sur mes aréoles granuleuses et emboucha mes tétons turgescents l’un après l’autre, m’arrachant des petits cris de bonheur. Je réussis à me dégager un peu et tandis qu’il ne cessait de me peloter, j’entrepris de finir de me déshabiller, faisant descendre à la fois mes collants et ma culotte, dévoilant ma toison un peu grisonnante. Il s’allongea et je me mis à genoux près de lui. Un gros baiser bien appuyé sur son nombril, et je descendis vers l’objet de tous mes désirs, cette queue tendue, ses couilles bien remplies. Je pris sa hampe de mes deux mains et approchai ma bouche. Un coup de langue pour récupérer la gouttelette qui perlait encore, et hop, j’embouchai le gland violacé. Le contact de mon palais chaud le fit sursauter et il s’agrippa à mes fesses rondes. Je descendis lentement le long du membre, faisant tournoyer ma langue tout autour, caressant tendrement les couilles. Il avait très bon goût et je me régalai de monter et descendre sur ce pieu de chair. Il réussit à m’entraîner au-dessus de lui en soixante-neuf. Je lui offris sans restriction mon abricot que je sentais inondé. Il écarta les grandes lèvres, le jus coula, je le sentais. Tout de suite, sa langue dure pénétra dans ...