Le petit facteur
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
volupté,
Oral
69,
pénétratio,
ecriv_f,
... l’antre du plaisir, puis lapa les sucs, qui s’en écoulaient, comme un petit chien. Il semblait se régaler tout autant que moi. Lorsqu’il s’occupa de mon petit bouton sensible, j’émis quelques sons incompréhensibles, puisque j’avais la bouche pleine de son vit. Mais il savait y faire ! Il titillait, léchait, aspirait, mâchouillait mon clitoris enflammé, je me tortillais comme une anguille pour échapper au supplice. Lui aussi semblait avoir des problèmes pour se contrôler. Il me demanda d’arrêter, il allait jouir ! Je fis simplement demi-tour et me couchai sur lui pour l’embrasser. J’écrasai mes seins sur son torse, puis, me redressant, je le caressai avec les tétons. D’abord son visage, puis son torse, d’où je descendis sur son ventre, pour enfin atteindre son sexe que je couvris, couilles comprises, de mes deux mamelles tendres. Il prit ma tête et passa ses doigts sur mes joues, sur mes lèvres. — Je n’en peux plus ! Je veux jouir !— Attends, ma puce, je vais te faire jouir ! Je me mis à califourchon sur lui, je saisis sa puissante queue et la guidai à l’entrée de mon puits d’amour. Tellement j’étais mouillée, je n’eus aucun mal à m’empaler sur son pieu viril jusqu’à la racine. J’étais littéralement remplie ! Je ne bougeai plus, ...
... savourant l’instant. Il en profita pour saisir mes seins, les soulever pour en caresser le dessous, là où ils sont si doux. Surveillant son visage pour ne pas le faire jouir trop tôt, je commençai un lent va-et-vient le long de sa bite. Je m’offrais totalement ; mes mains sur son torse, j’accélérai le mouvement et je sentis venir ma jouissance. Parcourue de frissons, le plaisir prit naissance au fond de mon ventre, une boule de feu qui me fit me contracter, puis, d’un coup, l’orgasme éclata ! C’est là que je sentis dans mon vagin en feu une giclée brûlante me fouetter l’utérus, suivie d’une autre moins violente. Je ne l’avais pas vu, mais il avait joui lui aussi au plus profond de mon sexe en fusion. Je tombai sur lui, il m’enlaça gentiment. Nous restâmes ainsi de longues minutes, son sexe mollit et sortit seul de ma grotte inondée. Je me relevai. Je sentis alors une coulée de jus odorant couler de mon sexe et je vis quelques gouttes tomber sur son ventre. Je me penchai et tendrement, du bout de la langue, j’allai récupérer un peu de nos jus mêlés que je vins lui faire partager dans un baiser plein de douceur. — Bien, maintenant la douche ! Je te fais cuire une truite ?— Et si je restais là cette nuit ? À votre avis, quelle fut la réponse ?