1. La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198


    Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou

    Henriette.Nous sommes en aout 1986, je n’habite pas loin d’un quartier de maison construite à la vas vite au retour des pieds noirs d’Algérie, avec les potes on y traine pas trop, c’est un peu un coupe-gorge pour notre bande. Quatre jeunes un peu plus âgés que nous y font régner leur loi, dont Marcel, une brute épaisse qui fout les jetons à tout le monde. Avec sa bande de connards il nous a déjà braqué plusieurs fois, ou juste mis des baffes pour le fun, alors on ne s’approche plus.Un jour les flics ont débarqués dans ce quartier et emmenés marcel en taule, il n’a pas fait de taule suite à ça, mais il s’est engagé dans la légion étrangère, du coup le quartier est devenue accessible, parce que les trois autres faisaient moins les fiers sans le marcel. On connaissait tous sa mère à Marcel, l’Henriette, elle était caissière à la superette, une femme dans la cinquantaine, toujours joviale, avec une énorme poitrine. On savait aussi que son mari était aussi con que le fils et qu’il la frappait souvent.Au début de l’été 1986, le SAMU était venu le chercher, il avait fait un AVC, fin aout il était chez lui mais c’était comme un légume. Henriette avait la paix, plus de coups, plus d’insultes, à la superette ça se voyait qu’elle était mieux dans sa tête, je me rappellerais toujours le jour début aout ou quand je suis passé à la caisse avec un pack de bière, elle m’a dit : « Tu vas faire la fête avec tes copains ? Je ne suis pas invitée ? ». Un peu surpris et comme un con je dis « non ...
    ... » bêtement, alors elle me réplique : « Moi aussi j’aime bien boire, passe un soir à la maison, on se boira mieux que ta bière ». Je réponds « oui pourquoi pas » et je me tire.Les deux fois ou je suis repassé à la superette elle m’a redis de passer, qu’elle pensait que j’étais un gentil gars et qu’elle était déçue… J’avais tout juste dix-huit ans et je vous jure que quand elle m’a dit ça en me faisant un clin d’œil toute poitrine en avant j’ai compris que c’était une invitation qui n’était pas que pour boire. J’ai demandé si le lendemain ça lui allait, y avait personne dans le quartier, tous en vacances et j’avoue que je me faisais chier grave. Elle m’a fait un grand sourire et m’a dit qu’elle allait me bichonner. Comme je craignais le mari, je lui demande si il sera là, et elle me répond « Il est dans son fauteuil, il se bave dessus, tu peux venir sans soucie, ça lui fera plaisir de voir du monde ».Je me doutais bien qu’elle allait me sauter dessus la vieille, moi à cet âge j’aurais baisé n’importe qui tant que ce n’est pas avec ma main que je jouie, et son clin d’œil m’avait un peu tourné la tête, jouer avec ses gros nichons me semblait le truc le plus sympa à faire cet fin d’été là. Je débarque vers 18h, elle me fait entrer dans la baraque, c’est grave le bordel, des tas de fringues partout, des cartons empilé au milieu du couloir, ça sentait la pisse de chat, y en avait au moins sept ou huit. Le mari était dans le fauteuil, la télé allumée, je lui dis bonjour, amis il est ...
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