-
La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198
Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou
... je l’ai dit baisé n’importe qu’elle nana. C’est que sous ma main c’était énorme, c’est surement de ce jour ma passion pour les nichons XXl, je me suis pas mal attardé sur son téton qui pointait sous le tissu, putain un truc de presque deux centimètres, large, que je pinçais sous mes doigts. Je n’osais pas vraiment la regarder dans les yeux, parce qu’elle, elle avait les siens sur moi, et qu’elle faisait vieille chienne en rut. Avec son facies grassouillet, ses bajoues gonflées de graisse, et sa bouche entrouverte on aurait dit une grosse truie. Elle sentait la sueur, l’odeur était acre mais je m’en foutais, c’était le mari qui me posait problème, faire ça devant lui, je n’étais pas à l’aise, et je le dis à Henriette.Ça l’a beaucoup fait rire, elle me lâche la cuisse, se lève, va vers son mari, soulève en se tournant pour lui montrer son cul, je vois au passage qu’elle n’a pas de culotte, que son cul est énorme, elle se penche et approche son gros fion vers le visage de son mari, il n’a pas de réaction, et elle me dit : « Tu vois il s’en fout, il est comme pas là le vieux salaud, avant je lui aurais fait ça, il m’aurait déjà mis les doigts dans le minou ». Elle est hard avec le vieux, mais c’était clair il n’avait pas l’air d’être là, elle se tourna sur elle-même et avec les deux mains elle écarte sa chatte et balance : « T’aimais bien me la ramoner vieux débris, mais maintenant tu ne vaux plus rien, t’es bon qu’à te chier dessus ». Elle rigole en revenant vers moi, je suis un ...
... peu abasourdit par la scène, et pas moins intimidé que quand je suis entré chez elle.Elle se rassoit, se dit à elle-même : « On en était o nous deux ? », puis devant surement se rappeler ou elle en était-elle me dit en regardant bien dans les yeux : Tu veux voir mes gros seins ! ». Je balbutie un oui timide, elle sourit, se relève, enlève sa robe, elle galère à passer les seins et les épaules, ça me laisse du temps pour voir sa chatte poilue, elle est à 50 centimètres de mes yeux, s’en dégage une odeur de sueur mais aussi d’urine, c’est une grosse sale la Henriette. J’ai les yeux qui frétillent, je me fous de l’odeur, on me dévoile rarement une chatte comme ça à mon âge, je suis comme un jeune porcelet en plein apprentissage.Sa paire de nichons ou pas loin, est énorme, pour comparaison, je pense que c’est le même calibre que ma copine Valoche, donc un bon 110F. ça pend lourdement, deux ballons de hand mous avec des auréoles brunâtre très larges et ses deux putains de tétons qui pointent comme les pis d’une vache. Une fois dégagée de sa robe, à poil devant moi, elle pose ses mains sur ses hanches et me dit salace : « Tu vas me baiser mon coco, j’ai une de ces faim, ça fait déjà 10 jours que je me baise au rouleau à pâtisserie, je veux un mâle ! ». Mes yeux se tournent d’un coup vers le coin opposé de la table du salon, là, y est posé le rouleau à pâtisserie, un gros bout de bois de cinquante centimètres sur au moins 6 de diamètres, pas de poignées, juste un gros bout de bois. ...