1. La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198


    Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou

    ... comme buggé, les yeux qui tressautent devant l’écran, il a morflé depuis son AVC, maigre, il a pris 20 ans en moins de deux mois. Elle me dit de le laisser tomber, qu’il regarde son émission. Je le laisse mais je me dis que c’est rude ce qu’il a eu. Henriette me fait assoir à la table du salon et me sort une bouteille de pastis, elle m’en sert un plutôt dosé et se met à enlever le bordel sur la table, pile de papier, panière à linge, je remarque un tas de culotte et de soutif hyper grande taille. Elle s’assoit à côté de moi, on a la table entre nous et le mari, elle est tournée vers moi, et c’est là que je remarque que sous sa robe ses tétons pointent de folie. Pour que ça darde comme ça c’est qu’elle n’avait pas de soutifs, c’était obligé, les nichons tombaient bas sur son ventre, je vous jure que le tissus moulait les tétons de manière franchement bandant.Au troisième pastis elle commença par me faire des compliments, sur ma politesse à la superette, et commença à me dire que j’étais tout mignon… ses yeux me dévoraient sur place, je me sentais comme déjà à poil devant Henriette qui finit par poser mes mains sur ma cuisse et me la caressa doucement jusqu’à la serer entre ses doigts fermement. Rien que ce contact m’a fait bander dans mon pantalon, je savais que j’allais y passer mais y avait le mari a pas 4 mètres qui se bavait dessus. Je n’étais pas vraiment à l’aise.D’un coup ça a senti la merde, elle s’est levée, a été jusqu’à son mari, l’a engueulé « Bordel t’as encore ...
    ... chié sur toi, gros porc, je n’ai pas que ça à foutre que laver ton cul ! ». J’assiste médusé au nettoyage du cul du mari. Elle le lève, lui enlève son bas de jogging, puis le penche en avant, il a les mains contre la table, je suis juste en face de lui, il me regarde l’œil vide pendant qu’elle le nettoie avec un gant de toilette, c’est assez sordide, il n’est vraiment plus le même. Une fois le cul propre elle le rassoit sur son fauteuil mais ne le rhabille pas, il a la bite à l’air, l’œil toujours vide, elle revient s’assoir avec moi.Elle me propose un autre pastis, mais je refuse, ça me tape déjà pas mal, je suis plus habitué à la bière qu’aux alcools forts. Elle s’en ressert un et reprend ou elle en était. J’ai droit à un questionnement sur ma vie, ce que je fais ? Qui sont mes copains ? Si j’ai une copine ? Je réponds à tout, mes occupations ordinaires, mes potes, que j’ai pas de copine… pendant que je réponds elle a remis sa main et elle s’est beaucoup rapprochée de moi, sa grosse cuisse touche la mienne, moi je bande comme un taureau rien qu’au contact, j’ai qu’une envie, la baiser.Ça va aller vite, les choses s’enchainent, surtout qu’elle est affamée et le top départ elle le donne en me prenant la main et la dépose fermement sur un de ses gros nichons en me disant « tu veux jouer avec ? J’aime bien qu’on me les touche… ». Vas dire ça à un jeune homme en pleine montée de sève, je n’allais pas refuser, même si la vieille ce n’était pas une bombasse, à mon âge j’aurais comme ...
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