La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198 - Histoires de Sexe

La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198

... n’a pas dit non Henriette, de toute façon ma queue ne lui faisait pas grand-chose dans la chatte, pas assez épaisse, je baignais comme dans le vide, alors que par le cul, elle me sentait bien et puis elle aimait ça. Je faisais le mâle dominant mais elle savait retourner la situation, comme elle jouissait assez vite du cul, après chaque orgasmes elle me repoussait de son cul, se retournais et me suçait. C’est devenu le jeu du soir, un coup dans son gros cul, un coup dans sa bouche, et elle ne faisait même pas attention aux petits bouts de merde qu’elle se mettait dans la bouche. Ce n’est pas moi qui l’ai demandé, j’étais pas encore assez pervers pour ça, encore trop jeune et inexpérimenté. Elle a voulu mon sperme sur le visage, ça m’a vachement plus de la regarder qui attendait mon jus. Elle était revenue dans la position accroupie, assise sur ses talons, ses bras dans le dos ou soulevant ses gros nichons, la bouche grande ouverte la langue tirée, attendant mon sperme comme une offrande délicieuse. Elle faisait les yeux ronds, elle était comme pressée d’en recevoir plein la face, j’ai repensait aux films super8 de mon père, y a une scène comme ça dedans, un milf qui attend son jus, là c’était encore mieux parce qu’il y avait le son, elle n’arrétait pas de me dire « tu vas m’en foutre plein la gueule de ton jus, vas-y mon mignon couvre moi de ton jus de petit salopard ». Quand j’ai senti que ça montait j’ai eu le bon déclic, je l’ai attrapé par les cheveux, fort, et en la ...

... maintenant bien j’ai tout balancé sur sa tronche, elle en râlait de plaisirs et moi je grognait comme un porc. Elle m’a ressucé direct, comme pour ne pas en perdre une goutte, jusqu’à ce que ma queue cri grâce, c’était bien trop fort pour la laisser continuer. Elle s’est affalée sur le canapé, sans s’essuyer, si ça avait été aujourd’hui j’aurais sorti mon téléphone pour la prendre en photo. Elle en avait bien partout, même dans un œil, ça faisait un filet de sperme qui pendait entre ses cils et haut de sa joue, elle souriait comme toute heureuse, profitant de l’instant comme une hédoniste totale.On n’a pas remis ça il était tard je suis rentré chez moi, j’étais content de moi, je lui avais dit que je repasserais le lendemain après-midi, elle en était toute contente.Le lendemain je suis arrivé plus tôt que l’heure prévu, je sonne et je l’entends hurler du fond de sa baraque me dire d’entrer, je suis sa voix et je la trouve dans la salle de bain, elle est presque à poil, juste son soutif, elle lave son mari assis dans la baignoire sabot. Elle est presque à poil pour ne pas se mouiller, elle me dit qu’il s’est encore chier dessus, qu’il tellement la courante ce con que ça a débordé de sa couche. Elle est très énervée, voir colère même, je la comprenais ce n’était surement pas facile d’assumer son mari dans cet état.On a pas baisé, elle avait besoin de parler, de se confier, elle en avait les larmes aux yeux, me racontant qu’elle est si pauvre qu’elle n’a personne pour s’occuper de ...