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La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198
Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou
... ça fait du bien mon bichon, à toi de t’occuper de moi avec ta belle queue, fourre la moi maintenant, je veux ». Je ne savais pas trop comment m’y prendre, j’avais jamais baisé avec un tel gabarit et je suis assez intelligent pour comprendre que ce n’était pas aussi simple qu’avec une fille gracile, on se mit debout, j’essaya de la prendre de face, debout, elle le cul contre la table, mais je n’y arrivais pas, je ne pouvais que mettre mon gland dans sa chatte, mais je sentais que c’était humide et très chaud, heureusement elle repris la main, se mit le cul sur la table, se coucha en levant les cuisses, c’était cool là, j’étais juste à la bonne hauteur, je lui demanda juste de se mettre plus au bord de la table, ce qu’elle fit sans se faire prier. Je me suis mis dans sa grosse chatte, je baignais dans le jus, elle l’avait large et suintante de mouille, elle renversa sa tête en arrière, faisait que répéter « vas-y, vas-y, vas-y….. », alors je burinais sa vieille chatte, y avait déjà plein de poils blanc,Comme ça ses gros nichons pendaient sur ses flancs, son bide vibrait sous mes coups de reins, elle avait mis ses bras au-dessus de sa tête, s’abandonnant totalement. C’est le vulgaire de la situation, cette Henriette pourtant immonde en tas de chairs molles, son odeur puissante, ses gémissements de vieilles jouisseuses perverses, et le mari devant qui bandait, immobile devant sa télé mais les yeux bien sur nous. C’était la première fois que je baisais ainsi, comme un toyboy sur ...
... une vieille vicelarde, j’aurais jamais fait ce que j’ai fait à une copine de mon âge, ça risquait pas, elles étaient bien trop pures par rapport à la vieille en rut.Je crois que ma queue était trop petite dans sa large chatte, je baignais la dedans sans trop sentir les parois, pourtant je suis bien doté et je bandais vraiment fort, je crois que c’est pour ça qu’elle s’est relevée, qu’elle a pris au passage le rouleau à pâtisserie, qu’elle s’est remise sur la table, que le rouleau je l’ai vu s’enfoncer sans forcer dans le vagin, elle a ouvert la bouche pour me dire quoi faire, j’ai compris, je l’ai regardé se baiser la chatte à grands coups de poignés, tout en me faisant sucer. Une sauvage avec son vagin, et elle savait ce qui l’a faisait monter haut, parce qu’elle accéléra de plus en plus, le truc pourtant énorme coulissait en elle facilement, elle se raidit, se contracta de tout son corps, sa bouche serra ma bite encore plus fort, elle laissa échappé un rugissement la bouche pleine, elle jouissait la vieille salope, et pas qu’un peu, c’est ce que je vis quand elle se releva pour reprendre son souffle, y avait une tache de pisse sur la table, j’avais jamais vu ça avant.« Putain mon petit salaud, je reprends mon souffle et on remet ça, t’es un petit cochon toi, j’aime ça ». Elle était tout sourire, haletante, le souffle court, dur de respirer quand on est grosse comme elle. Je lui montre du doigt son mari, lui dit qu’il bande, elle me répond, que c’est la seule chose qu’il peut ...