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La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198
Datte: 04/06/2020, Catégories: Hardcore, Mature, Inceste / Tabou
... comme avec mes copines, ou ça restait tendres, timides, un peu peureux d’en faire trop.Ça lui a donné faim à l’Henriette la voilà qui sort du frigo du pâté et un camembert, du pain et un couteau et la voilà à table ingurgiter ses tartines aussi vorace qu’elle nous avait sucé nos bites au vieux et moi. Le temps était passé vite, le journal commençait à la télé, je n’avais pas vu le temps passer. Elle me demande si je dois rentrer, je dis que non, que je suis libre de faire ce que je veux. Elle me dit que c’est cool, qu’elle va aller coucher le vieux et qu’on remettra le couvert après. Je bouffais ma tartine de pâté en la regardant se lever, avec sa démarche lourde, son gros cul tremblait à chaque pas, je pensais dans ma petite tête que c’était vraiment une putain de grosse salope, oui j’allais rester, à 18 ans t’as la forme, fait pas te demander deux fois si tu veux recommencer.Elle l’a levé, et sans lui donner à manger, elle l’a mis au lit, quand elle est revenue elle m’a regardé bien dans les yeux pour me dire. « y a un truc qui te plairait que je te fasse mon mignon ? », je voyais même pas ce qu’elle aurait pu m’offrir de plus la Henriette, j’avais pris sa bouche, sa chatte et fini dans son cul, comme je suis resté hésitant, elle m’a dit « bon je prends les choses en mains alors, déjà je vais te faire rebander, à la bouche, met toi sur le canapé on sera mieux. Je m’installe avec ma tartine, elle me suit de prés, je suis à peine assis qu’elle est à quatre pattes entre mes ...
... genoux, ma queue est molle, elle l’a met dans sa bouche, et tout en me regardant elle me suce doucement, sans bouger la tête, juste elle fait coulisser ma bite dans sa bouche en ne jouant que de la sucions, la garce sait le faire, j’ai pas été long à rebander comme un dieu. Elle avait gardé sous la main son rouleau à pâtisserie, elle se les mit dans la chatte et je voyais son cul se relever et redescendre, elle se baisait tranquillement, mais profondément, elle était toute guillerette, affamée encore et tout sourire. C’était moins hard et sauvage, plus sensuel, je voyais ma queue disparaitre presque complétement entre ses lèvres, et quand elle la lâchait c’était pour s’attarder un peu sur mes couilles, les lécher et en faire rouler une dans sa bouche avant de remonter la langue tirée baveuse et bien appuyé sur ma tige jusqu’à se la remettre dans le gosier. Elle me sortait le grand jeu, une pipe de vieille salope comme je n’en aurais jamais soupçonné l’efficacité si elle ne me l’avait pas prodigué. Elle gémissait d’aise, elle adorait sucer et ça se voyait, le film commençait à la télé, la 7eme compagnie, on s’en foutait complètement, je me régalais de sa bouche et elle de ma bite, j’étais tout heureux.On a pris tout notre temps, après cette pipe du tonnerre, elle m’a demandé de la baiser avec le gode, vision hallucinante que ce gros bout de bois qui la pénétrait sans avoir à forcer, je m’amusais comme un petit fou et elle se le prenait en grognant de plaisir, cuisses remonté au ...