La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198 - Histoires de Sexe

La vieille Henriette et le jeune Christophe en 198

... voulu, sur son ventre et ses seins, une belle giclée du menton jusqu’au nez, qui s’est étalée d’un trait, j’étais épuisé, on en est resté là, ma queue me brulé tellement elle était irritée, et elle n’en pouvait plus non plus. Je repartis après qu’elle m’ait fait promettre de revenir.Je suis rentré chez moi, les jambes coupées, la tête pleines d’images hyper hard, Henriette ne quitta pas mes pensées jusqu’à ce que je m’endorme épuisé. Le lendemain je passais à la superette, elle m’a vu entrer, j’ai eu droit à un large sourire, j’ai fait ma petite course et en passant à la caisse, elle n’a tapé qu’un seul article le moins cher, j’étais seul dans la queue, elle me chuchota « j’ai une pause de 13h à 14h, tu me rejoins, je serais dans l’arrière-boutique, tu peux passer par la grande porte du hangar, j’ai pas mis de culotte… ». La garce m’a de suite fait envie, il n’était que 11h et quelques, j’allais vite poser mes courses et revenir me poster pas loin pour être à l’heure.Il ne fallait pas faire de bruit, y avait le patron dans son bureau, elle m’amena dans le coin le plus sombre du hangar et me tailla une belle pipe savante avant de se pencher contre une palette de petit poids. Je lui ai pris sa chatte, elle se tirait une fesse avec la main droite, elle m’a dit « tu ne gicleras pas dans ma chatte, sinon je vais pourrir mon siège de caisse, tu mettras ça dans ma bouche ». Le rêve, c’est ce que je n’avais pas encore fait une décharge buccale, et c’était aussi bien que je me l’étais ...

... imaginé. Elle était toute contente, et me dit « je vais avoir ton gout toute l’après-midi dans la bouche, tu viens ce soir ? ». On avait prévu avec un pote d’aller au cinéma, je pouvais être chez elle vers 11h, on était samedi, elle m’a dit que c’était bon, qu’elle m’attendrait sagement. J’ai débarqué un peu plus tard, elle s’était endormie devant la télé, le vieux aussi.Elle m’a pas engueulé d’être en retard, trop contente que je sois là, elle avait fait des efforts, elle sentait bon le savon, avait mis une nuisette en satin bleu ciel, avait peigné ses cheveux, un peu de maquillage, pas canon parce que c’était impossible mais mieux, moins clocharde que d’habitude, elle voulait me plaire.Elle avait prévu un petit spectacle, ne s’occupant pas du tout de son mari qui ronflait doucement dans son fauteuil, elle tenta d’être gracieuse dans une danse lascive, c’était raté mais c’était d’avoir tenté qui comptait. Elle jouait à tortiller son gros cul, secouer ses nichons, se penchait pour me montrer ses fesses, puis plus directe commença à soulever la nuisette pour me montrer sa chatte, elle l’avait taillée, beaucoup, il n’en restait pas grand-chose, elle en était toute contente, comme si sa malice allait m’exciter encore plus. Elle me l’a mis sous les yeux pour que je ne rate rien de son anatomie, puis elle se remit à danser, elle avait mis un morceau de Sardou, je détestais déjà mais j’ai rien dit, tant qu’elle m’amusait. Si ce n’était pas bandant pour le moment, l’intention était ...