Apprentissage sulfureux (Chap 5 et 6)
Datte: 02/10/2017,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
Collègues / Travail
ffh,
Nous étions plutôt habitués à une chaleur sèche. Après le service tout le monde était fatigué. Ce soir-là, la chaleur était humide, tout le monde transpirait. De mon côté, j’étais en caleçon sur mon lit, la canette à la main. Emma se baladait en soutif. Naomi n’arrivait pas à joindre ses parents. Emma était énervée car elle s’était pris une réflexion par le dragon, la grande Sophie. Heureusement, j’avais eu l’idée d’aller acheter un pack de bière, pas de la merde, de la Leffe. On se retrouva dans ma chambre, à siroter. Lorsque d’un coup le tonnerre gronda… Emma me sauta au cou, dans le lit. — Purée, j’ai les jetons, sers-moi, sers-moi fort, sinon je crie ! Je la pris dans mes bras. Un second coup de tonnerre fit trembler la chambre, Naomi, n’était pas bien non plus. Elle se débarrassa de son juste au corps — Je crève de chaud, pire qu’en Asie. Le troisième coup fit sauter l’électricité. À ce moment, Naomi sauta dans mon lit, morte de trouille. — Je dors là, moi, fit celle-ci déconfite.— Moi aussi, fit Emma qui, depuis un moment, profitait de moi. Je leur tendis à chacune une bière. Couché dans le lit, j’étais un vrai pacha : Emma d’un coté, Naomi de l’autre. Elles me serraient fort, mortes de peur. Le quatrième coup les firent se blottir contre moi. Je sentais les gros seins d’Emma, d’un coté. Puis ceux plus fins de Naomi, de l’autre. Réaction, immédiate, mon meilleur ami, dans mon slip, se réveilla. La jambe d’Emma frôla mon sexe tendu. — Tu bandes, gros cochon, t’as pas ...
... l’impression de profiter de la situation, moi je suis mortifère Naomi, elle, tremblait de peur, c’était pas du cinéma. Je la serrais un peu plus que l’autre contre moi. Elle cachait son visage dans mon aisselle Nouveau coup de tonnerre, qui fit crier et remuer Emma. D’un coup je sentis sa main se poser sur mon ventre, se glisser sous l’élastique du caleçon et m’enserrer à pleine main. — Excuse moi, mais cela me rassure, me chuchota-t-elle. Je ne dis rien, me laissant mener, sa main restait immobile, enroulée autour de moi. A nouveau le ciel gronda, éclairant toute ma chambre. Naomi colla sa petite culotte sur ma hanche. — On va tous crever, fit elle. Emma pouffa de rire, puis lui dit : — Fais comme moi, accroche-toi au mat.— Qu’est-ce que tu dis, fit la belle asiatique, j’y comprends que dalle. Emma me lâcha un instant pour aller prendre la main de son amie, puis elle la glissa à la place de la sienne. Naomi poussa un petit « Oh ». Mais elle ne retira pas ses petits doigts fins. Au contraire, je les sentis m’évaluer, curieux. Pendant ce temps, Emma défaisait les trois boutons du caleçon. Elle se releva, assise sur le lit, se débarrassa de son soutif, leva les reins et jeta sa petite culotte au sol. Elle revint se coller contre moi. Sa main alla rejoindre celle de son amie, un peu plus bas sur les couilles. — Alors, fit elle, tu n’as plus peur, Naomi, maintenant. Naomi, avoua que c’était la première quéquette qu’elle touchait. — C’est dingue comment c’est raide, gros, chaud.— Tu ...