1. Apprentissage sulfureux (Chap 5 et 6)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: fh, intermast, Oral Collègues / Travail ffh,

    ... mais vous, vous n’avez rien eu.— Qu’est-ce que tu en sais, fit Emma, moi mes doigts sont trempés. Alors que Naomi, elle, c’est sûr, elle a encore sa culotte.— Une prochaine fois, fit celle-ci en me regardant, il faut savoir attendre. L’orage s’était calmé, il était déjà très tard. — C’est pas tout, fit Emma, regagnons notre chambre. J’imagine la tête de la vieille chouette, si elle nous avait trouvés comme cela. Nous éclatâmes de rire. Une semaine plus tard, notre affectation avait changé. Le matin, nous portions les plateaux de petit déjeuner dans les chambres. L’après midi, nous étions mis à la disposition des économes. Notre premier jour de repos n’était prévu qu’à la fin de la semaine. Nous avions eu droit à un contrôle inopiné de la part de la grande Sophie. Elle avait déboulé à 5h30 du matin. Evidemment, nos chambres n’étaient pas faites, car on venait juste de se lever. Moi-même, j’étais encore en slip. Elle avait ouvert nos armoires. Sous prétexte qu’un linge était mal rangé, la gouvernante avait tout flanqué par terre. Intérieurement, je la haïssais. Dès qu’elle fut partie, Naomi vint me voir — Tu as vu cette folle, elle a saccagé toute ma chambre— Moi aussi, fis je, elle est pas nette.— Elle doit avoir ses ragnagnas, ajouta Emma. Nous n’avions plus le temps de ranger, au risque d’être en retard au service. On se présenta à la Responsable. La femme, une grosse matrone d’une cinquantaine d’années, très sympa. Elle s’appelait Mireille, je remarquai qu’elle était déjà ...
    ... à la bière à cette heure. Elle nous expliqua notre tâche, on avait chacun deux étages à s’occuper. Moi je me retrouvais au 5ème et 6ème, avec les clients les plus difficiles, ceux des suites. A un moment je croisai dans l’ascenseur Emma. Nous redescendions au sous-sol, pour chercher d’autres plateaux. Elle me regarda un peu par en dessous, elle semblait se moquer. — Qui a-t-il, fis je intrigué, ma braguette est ouverte ?— C’est pas ça, bébé. Puis d’un coup, elle me roula une pelle. Sa langue me fouilla avec frénésie. Je répondis gentiment à son baiser. Elle me lâcha, juste avant que les portes ne s’ouvrent. Heureusement, car le dragon était là. — C’est vous qui bloquez cet ascenseur. Nous sortîmes, elle disparut dedans. — Quelle conne fit Emma ! Il me fallait porter un plateau au 610, la suite royale à 800 euros la nuit. Je me demandais sur qui j’allais tomber. Je toquais à la porte, en préparant mon pass. Une voix féminine me répondit : — Entrez ! Après avoir passé l’entrée de l’immense chambre, je fus stupéfait. Une femme, la trentaine bien sonnée, était allongée nue sur un lit pouvant contenir aux moins quatre personnes. Son corps était assez bien foutu, sauf ses seins qui pendaient un peu. Elle avait les jambes écartées, et jouait avec un godemiché, qu’elle faisait glisser sur sa fente poilue. En me voyant, elle ne s’interrompit pas, bien au contraire, elle fit pénétrer le gadget en elle. J’étais éberlué, bloqué comme une cloche avec mon plateau dans les mains. — Oh, le ...