1. Apprentissage sulfureux (Chap 5 et 6)


    Datte: 02/10/2017, Catégories: fh, intermast, Oral Collègues / Travail ffh,

    ... as de la chance, fit Emma, t’es pas tombée sur la plus faiblarde. Puis elle ajouta : — On lui fait ?— Je veux bien, fit Naomi, curieuse d’apprendre. La main d’Emma s’enroula autour de la main de Naomi, et commença à lui imprimer un rythme léger. Pendant ce temps. Emma avait enroulé une jambe sur la mienne, et se masturbait sur ma cuisse, dans une douce houle. Je sentais l’humidité de sa foune, libérer sa cyprine sur moi. Les lèvres d’Emma se posèrent sur mon sein, elle se releva un instant pour dire : — Fais comme moi, Naomi. Son amie se pencha comme elle. Chacune d’elles me léchait un sein, alors que leurs mains s’activaient sur mon sexe. J’étais aux anges. Je me sentis encore grossir dans les mains indiscrètes. Emma quitta mon torse et remonta lentement. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Elle progressa sur mon menton, posa ses lèvres sur ma lèvre inférieure. Elle sortit sa langue et me caressa les lèvres avec celle-ci. Je sortis ma langue pour venir au contact de la sienne. Emma se frottait toujours contre ma cuisse. Je voulus prendre le pouvoir, elle m’en empêcha et chuchota : — Laisse toi faire, Polo, deux femmes pour toi tout seul, t’imagine la chance que tu as. Elle prit mes lèvres et me donna un baiser sucré. Naomi, à son tour, abandonna mon mamelon, pour venir m’embrasser la joue, elle s’approcha de mes lèvres. Emma lui laissa la place un instant. Mes amies continuaient de me masturber lentement. À un moment nos trois langues se touchaient, dansant un ballet ...
    ... fou, improvisé. Puis Emma se laissa couler, plus bas que mon torse, sur mon ventre, sa langue me léchait partout. Elle s’abaissa encore Pendant ce temps, Naomi, ne quittait plus mes lèvres. Elle embrassait extrêmement bien. Avec une infinie douceur. Emma était sur mon pubis, elle avait lâché mon sexe, laissant Naomi me stimuler. Sa langue se posa sur mon gland. Ce fut pour moi une sensation inouïe. Seule sa langue me touchait, pas ses lèvres. Elle s’enroula autour de moi, comme une pieuvre attrape sa proie. Puis, elle me lâcha pour agacer le frein, le méat. Noami continuait son langoureux massage sur ma bouche. Emma délaissa ma tige pour descendre plus bas. Ses lèvres se posèrent sur mes bourses. Elle en prit une délicatement dans sa bouche et me pompa. Je sentais l’instant où je n’allais plus pouvoir me retenir. — Vous allez me faire jouir, les filles !— Lâche-toi, Polo, fit Emma, nous sommes là pour cela. Elle replongea sur moi, pour me pomper l’autre bourse. Noami était définitivement soudée à ma bouche. Sa main agissait sur le même rythme, imperturbable. D’un coup, je me cabrai. Les deux jeunes femmes continuaient. Mon sperme fusa tel un geyser. Je soupirai dans la bouche gourmande de Naomi, en me vidant à longues giclées. Enfin, elles me lâchèrent, j’étais en nage. Emma se plaint : — Tu m’en as mis partout, j’en ai sur la joue, dans les cheveux, sur le menton. Naomi rigola. — Et moi j’en ai plein la main. Puis, elle me regarda : — C’était bon ?— Oui, fis je, délicieux, ...