Le Radiateur (3)
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
Hétéro
... beaucoup. — D’accord… Et te caresser avec les mains ? Te doigter ? Ça va ? — Ah ça, oui ! Je t’en prie ! En fait, je préfère ce qui pénètre : une bite ou des doigts, ça me plaît beaucoup plus qu’une langue. Alors, respectant son choix, je lui demandai de serrer les cuisses et de les lever pour lui caresser sa vulve. Un sexe très beau qui faisait honneur à Éliane ainsi qu’à toutes les femmes. Je suçai abondamment mes index et majeur joints avant de les passer sur les petites lèvres que je regardais de très près, toujours fasciné par cette intimité féminine. La pénétration de mes doigts mouillés dans ce vagin tout chaud créait de petits clapotis que j’aimais beaucoup entendre, et ça ne semblait pas gêner Éliane : quand je lui demandais si tout allait bien, elle me répondait que c’était très bon. Cependant, obnubilé par sa vulve à présent ouverte et comme attiré tel un aimant, je ne pus m’empêcher de lui demander, ne serait-ce que par politesse : — Je sais que tu n’aimes pas être léchée. Mais est-ce que je peux t’embrasser le sexe, lui donner une bise ou deux ? — Si tu veux. Content, je ne perdis pas mon temps et y déposai délicatement les lèvres, sans la langue. J’enchaînai les baisers tendres et amoureux de cette partie du corps. Vu qu’Éliane ne disait toujours rien, ça ne lui déplaisait pas ou alors très peu. Mais pour être correct, je préférai ne pas en abuser et de ne me laisser aller qu’aux moments où la tentation devenait intenable. Mes doigts faisaient toujours la plus ...
... grosse partie de ce délicieux travail. Après cette stimulation, Éliane me demanda d’y aller, de venir en elle de nouveau. Pas que je le refuse, mais je lui fis part de mon espoir d’être sucé avant de commencer, et sucé « complètement » cette fois. La jeune femme répondit très simplement qu’en dépit de toute l’affection qu’elle avait pour moi, on ne se connaissait pas assez et elle ne voulait pas prendre de risques, elle qui avait une amie qui s’était chopée le VIH par fellation. En principe j’étais sain, mais sans preuve je ne pouvais que la comprendre. J’aurai l’occasion plus tard. Elle ajouta que le préservatif était aussi pour éviter une grossesse, vu que la pilule ne lui réussissait pas. Cette fois, elle était sur le dos, les jambes écartées à me tenir avec les chevilles, me tirant vers elle. Après avoir salivé sur mes doigts et en étaler un peu sur ma verge et sa vulve, je caressai cette dernière avec le gland pendant quelques secondes. Éliane étira un peu ses lèvres pour ouvrir complètement le passage, et me voilà de nouveau en elle. rgorqqnl Nous ne restâmes pas immobiles aussi longtemps que toute à l’heure ; comme nous étions déjà bien échauffés et la femme toujours mouillée, la pénétration se faisait toute seule. J’entamai les mouvements en lui agrippant les cuisses, des mouvements à vitesse correcte : ni traînants ni en marteau-piqueur. Ça ne claquait pas, mais ça faisait son effet sur nous : Éliane gémissait d’un coup après quelques instants de silence total, et je ...