1. Le Radiateur (3)


    Datte: 26/06/2017, Catégories: Hétéro

    ... soufflais régulièrement. Il n’y avait aucune simulation dans cette chambre. Je m’étais allongé sur elle pour pouvoir l’embrasser dans le cou pendant la pénétration, ainsi que d’avoir cet apaisant contact des seins contre soi. Éliane m’enlaçait de tout son corps en me demandant de continuer – du moins était-ce ce que je comprenais à l’écoute ses râles. Ma verge, qui glissait sans heurt, s’enfonçait à chaque venue au plus profond du vagin qu’il lui était possible ; je sentais, même avec le préservatif, la chair féminine m’étreindre chaleureusement. Toujours dans la même posture, je passai mon visage du cou d’Éliane à devant le sien pour nous regarder dans les yeux pétillants et souriants. Sans se le dire, nous eûmes en même temps le désir de nous embrasser. Après plusieurs minutes à la pénétrer, je lui demandai malgré l’évidence de ses soupirs si ça lui plaisait, puis si elle voulait que je lui fasse quelque chose en particulier : « Prends-moi à quatre pattes » répondit-elle sans hésitation. Je m’étais retiré et ma partenaire se redressa tout de suite pour s’apprêter à la levrette. En posant mes mains sur ses fesses, et alors que j’étais trop tenté, je luis dis : « Juste un petit bisou » avant de lui déposer un très délicat baiser – toujours sans langue – sur sa vulve puis d’y enfiler à nouveau ma bite. « Oh Éliane, quel cul ! » s’échappa d’un coup à la vue de ses fesses. Elles étaient rebondies et fermes, la ligne nette ; et le fait que ma partenaire se cambre amplifiait cette ...
    ... impression de volume. Elle s’y connaissait, en levrette ! Après le lui avoir demandé, je me mis à taper contre elles. C’était plus fort que moi : dans cette posture, si j’avais un cul superbe, j’avais envie de le buter du bassin. Les claquements réguliers étaient très beaux à entendre, de mon point de vue. Et la belle femme aimait ça, sans y douter. Tandis que je m’étais arrêté un instant pour reprendre mon souffle, en caressant les courbes rougies de plaisir et de vigueur masculine, je remarquai un petit détail qui avait son importance surtout en levrette : Éliane avait un très bel anus. Petit trou discret et élégant, qui ne laissait pas supposer avoir été pénétré autrefois. J’avais couché avec des femmes qui, même sans avoir réellement pratiqué la sodomie, n’avaient pas toujours un anus harmonieux. Celle-là, si. Et c’était très agréable à regarder. Je lui en fis le compliment qui l’étonna : « Tu es le premier à me dire ça ! Enfin, merci ! », puis elle reprit la cadence, reculant contre mon bassin afin de faire elle-même mes va-et-vient. Le temps passant, nous avions changé très légèrement de posture : Éliane était allongée sur le ventre, les cuisses serrées, tandis que je la pénétrais toujours derrière elle. Notre baise était à présent intense : je tapais vite et fort contre son cul, m’enfonçant complètement. Nos souffles et nos râles s’emmêlaient, je ne m’arrêtais pas même si j’avais besoin d’une pause. — Hm ! Éliane, ça vient ! — Oh oui ! Vas-y, crache si tu veux ! Je ne ...