1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741)


    Datte: 07/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°738) - Humiliations enivrantes avec les Banquiers Genevois - Mes fesses me brûlent. Je reçois l’ordre, sèchement avec autorité dans le ton, de me redresser et de me dévêtir totalement face à Monsieur Blowell et son assistant. J’ôte mes chaussures, mon pantalon et mon boxer toujours à mes chevilles, puis ma veste de costume. Alors que je m’apprête à quitter ma chemise, Karl, le jeune banquier, intervient. - Rhabille-toi ! ordonne-t-il Lorsque je suis de nouveau recouvert Karl lance : - Tu appelles ça te déshabiller pour nous ? dit-il d’un ton plus que sévère. Je me mords la lèvre inférieure. Je n’ai vraiment pas fait attention à le faire pour eux, mettant dévêtu sans penser à ceux me Dominant. - Pardon Monsieur. - Pardon ? me répond-il d’une voix accusatrice Je me sens mal, comme pris au piège, comme dans un engrainage, plongé dans un univers odieux et terriblement pervers. Pourtant ces sensations humiliantes me font bander. Ma queue tendue se devine très nettement sous mon pantalon. Je baisse la tête… Eux se plaisent à me mettre plus bas que terre. Le Maître ne dit rien, se tient en retrait, il tire sur son Havane, écoute, voit, examine sans perdre une miette de mes agissements hasardeux. - Déshabille-toi correctement maintenant. Je ne sais pas trop comment faire, je ne veux pas me lancer dans un strip-tease grotesque. Je me concentre, me déshabille en pensant à ce que je vis réellement, une ...
    ... outrageuse humiliation. - C’est mieux, je t’écoute ! Je ne comprends pas. Que me faut-il dire… Je n’ai rien à dire, je m’affole, cherche le regard du Maître. Lui semble prendre un malin plaisir à me voir ainsi. Il ne dit rien, me regarde attentivement, autoritairement, un sourire pervers aux commissures des lèvres… - Je t’écoute ! répète Monsieur Sylvain et pointant son regard sur l’armoire grande ouverte contenant les instruments de flagellation. Je réfléchis encore trente secondes puis souffle. - Je… je mérite une punition Monsieur ! - Et que oui ! Un esclave ne sachant pas s’offrir en permanence doit être puni. Il faut que tu comprennes bien que tu es à notre totale disposition, ainsi en a voulu Le Maître, Monsieur le Marquis. Va chercher le martinet dans l’armoire, je pense que tu sais à quoi ressemble un martinet ? Je me dirige vers l’armoire, regarde les différentes étagères mais il y en a de nombreuses sortes. - Lequel dois-je prendre Monsieur ? - Celui en daim avec des longues lanières. Par un hochement de tête, Monsieur Karl me fait comprendre que c’est bien celui-ci qu’il souhaite. - Mets-toi à quatre pattes devant moi. Je m’installe dans une posture que je qualifierai de parfaite, je cambre mes lombes, écarte les cuisses dégageant ainsi ma raie, affichant mes couilles et ma bite toujours tendue. Pendant ce temps, Monsieur Karl a dégrafer la braguette de son pantalon de costume et à libérer son sexe de son sous-vêtement. - Maintenant, suce-moi, la chienne ! J’avale cette ...
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