1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741)


    Datte: 07/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bite de belle taille tant en longueur qu’en épaisseur et sursaute lorsque je sens le premier coup tomber sur mes reins. Le claquement sonore multiple produit par l’objet me surprend, puis la douleur, très différente de celle de la cravache. Avec cet instrument, il y a d’abord une onde de choc, sans grande douleur mais qui se propage en une chaleur piquante qui irradie tout mon dos. Je gémis, Il gronde : - Je ne veux pas t’entendre, et fais ça mieux ! Tu sais faire les pipes non ? Alors ne me déçois pas ou la punition sera à la hauteur de mon déplaisir. Je m’active, je pompe ce dard maintenant turgescent et extrêmement tendu, mes succions sont beaucoup plus vigoureuses, le jeune Dominant gémit doucement puis se reprend : - Regarde-moi dans les yeux quand tu me pompes, espèce de putain ! J’exécute, vois et sens de nouveau les lanières s’écraser sur mon dos. Je ne bronche pas et officie avec une stricte rigueur jusqu’au moment où les lanières tombent sur ma raie, s’écrasant sur mon trou et effleurant mes couilles. Je couine. Lui ordonne sèchement ! - Tais-toi ! Tu n’es pas là pour te plaindre mais pour me sucer correctement. Alors fais ce que j’exige ! Je reste silencieux, les dix coups tombent durement. Je suce autant que je bande. Ma queue n’a jamais été aussi raide… Me sentir ainsi, dans l’opprobre, dans l’avilissement le plus total, aiguise mes sens. J’en frissonne comme si j’avais froid. Je suce et garde mon regard dans ces yeux autoritaire me surplombant. Ma langue ...
    ... s’enroule, titille, exacerbe. Mais sans doute pas suffisamment encore puisqu’une claque tombe sur mon cul meurtri. Monsieur Blowell me fesse encore sauvagement. - Cambre ton cul mieux que ça ! ordonne-t-il. Mais je suis cambré, ai-je envie d’implorer… - J’ai dit mieux que ça ! reprend-il encore en me fessant toujours - Veux-tu te faire punir pour mieux comprendre ce que l’on veut de toi ! Reprend Karl Je réajuste ma posture, exagérément je tends mon cul à en avoir une douloureuse sensation au creux de mes reins. - Tu vois quand tu veux ! reprend Monsieur Blowell Et au même moment, il me plante son dard au fond de mon petit trou. Il me pénètre d’un trait en s’agrippant à mes cuisses. La pénétration, sans la moindre prévention, me cisaille, me coupe le souffle. Une véritable saillie animale. - Suce mieux que ça salope ! m’ordonne encore Karl Il me prend la tête entre ses deux mains et dirige maintenant totalement la fellation. Il s’enfourne en moi avec fougue et une énergie extraordinaire, alors que mes sphincters cherchent à retenir cette queue qui me taraude le cul. Je suis pris des deux côtés, brutalement, bestialement. Une main me caresse sous le cou, me faisant redresser la tête comme pour m’aider à avaler un plus encore cette bite allant et venant en moi, puis glisse sous mon ventre, me pince mes tétons violemment, m’attrape les couilles ballotant au rythme de cette saillie, deux doigts effleurent ma bite plus que jamais turgescente. Une autre appuie sur ma colonne vertébrale ...
«1234...»