1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°741)


    Datte: 07/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pour maintenir mes lombes cambrées. Sans voir, je la reconnais, les mains du Maître. Il maintenant là agenouillé près de moi. - Là est ta place Mon chien ! Donne-toi et avale ces queues telle une bonne pute que tu es, j’aime te voir ainsi offert, Ma pute ! J’aimerai me voir ainsi, dompté et assailli par trois Dominants à la fois. Alors, faute de glace, j’imagine cette image que je donne de moi, subordonné aux exigences et aux queues endurantes de ces deux banquiers pervers. Mes trous sont bien plus que sollicités, ces bites s’acharnent comme si elles menaient un terrible combat en me harcelant de part et d’autre. Et lorsque celles-ci m’embrochent et giclent, presque au même moment, en éclaboussant largement mes deux orifices contraints, je crains un instant de jouir à mon tour, tant je suis tourmenté par mes propres plaisirs autant physiques que mentaux… Je suis obligé de nettoyer avec ma langue et une à une ces deux queues qui m’ont sailli la bouche et le cul. Je suis dans cet état second lorsque Karl intervient encore. - Tu n’es même pas capable de te souvenir de mes ordres. N’ai-je pas exigé de toi des remerciements à chaque fois ! Merde, me dis-je, tellement dans mes pensées jouissives dévastatrices, j’ai omis de remercier mes assaillants. - Combien ? - Dix coups ! Dis-je timidement. - Je n’ai rien entendu ! - Dix coups, Monsieur. - Réponse non recevable, Je double celle que j’avais prévue… Tu étais prévenu et tu savais, ce sera trente coups, et le Maître va choisir ...
    ... l’instrument de son choix, cette fois-ci. Monsieur le Marquis, sans perdre un instant se dirige vers cette armoire maudite et en sort un instrument que je ne connais pas. - Mon chien va goûter au chat à neuf queues, c’est un peu comme au martinet, sauf qu’il y a des nœuds au bout de chaque lanière. Tu vas vite sentir la différence, Ma pute désobéissante ! Le Maître tendit l’instrument à Monsieur Blowell. - Nous allons lui administrer dix coups chacun, à vous la priorité cher ami… Monsieur Blowell ne se fait pas prier, il me fait me mettre debout. - Mets-toi dos à ce mur et pose une main en haut de chaque meuble. Je me place comme désigné entre deux commodes d’environ un mètre cinquante de haut. Les bras à l’horizontale, j’offre mon corps à la vue des trois Dominants, quelque peu surpris de devoir me placer ainsi, quelque peu honteux d’exhiber ma nouille tendue. Je m’attendais à me mettre à quatre pattes ou prosterner en levrette. Ainsi face au Maître et au deux banquiers j’appréhende d’autant plus la sanction. Monsieur Blowell jouant avec l’instrument avance en m’interpellant. - Je veux que tu me regardes droit dans les yeux. Je redresse la tête surpris de ce nouvel ordre. Je vois arriver l’instrument et s’abattre sur ma poitrine. Surpris de douleur j’hurle tout en bandant un maximum d’excitation. - Veux-tu que nous doublions la punition, ne crie pas ! lance Monsieur Blowell. - Pardon Monsieur - Alors redresse toi et prends une pause plus offerte. Monsieur Blowell frappe de ...
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