1. Las Majas


    Datte: 09/06/2020, Catégories: fh, nympho, gros(ses), grosseins, fépilée, Collègues / Travail école, telnet, hdomine, vengeance, chantage, cérébral, odeurs, Oral pénétratio, fsodo, attache, yeuxbandés, humour,

    ... sillage. Nous montons d’un étage. Dans l’escalier, je n’arrête pas de lorgner son cul. Elle s’arrête devant une porte, sort son jeu de clefs pour la déverrouiller et nous pénétrons dans un petit bureau sobrement meublé. Puis elle se retourne face à moi : — Alors, demande-t-elle. Et maintenant ? Pas le droit de flancher. Convoqué dans le bureau du professeur : grand oral. Une seule question. La bonne réponse est… — Retire ta robe. Va-t-elle m’envoyer chier ? Je n’ai rien en main. Je bluffe complètement. Mon succès ne repose que sur l’effet de surprise. Je ne peux rien prouver. A-t-elle eu le temps d’y réfléchir ? Probablement pas. Sans me quitter des yeux, elle croise les bras pour attraper sa robe à la ceinture et tire doucement vers le haut. Peu à peu, elle dévoile ses mollets, ses cuisses potelées, puis le triangle de satin gris qui masque encore son intimité. Aucun poil ne dépasse. Son pubis glabre est surmonté d’un bourrelet de son ventre, rond, lisse et pâle. Elle tire encore. J’ai les mâchoires serrées, la gorge sèche. Mes narines palpitent et le parfum de vanille les pénètre par petits à-coups. Son soutien-gorge, plein à craquer, est assorti à la culotte. Les mamelons bandés tendent l’étoffe sur le devant comme deux perles prisonnières. Elle dégage sa tête de l’encombrante robe. Je reste un instant à la contempler. D’aucuns auraient pu dire qu’elle n’était pas jolie, ou bien qu’elle était grosse, ou bien qu’elle était vieille. Ça n’aurait eu aucun sens. Moi, en ...
    ... l’admirant ainsi, presque nue, je ressentis soudain le plus profond mépris pour ces analphabètes du savoir esthétique qui pourrissent nos vies. Si l’on peut définir la beauté artistique comme l’adéquation entre la forme et le fond, alors la nature, en offrant des courbes si généreuses à cet esprit qui ne l’était pas moins, avait réalisé un chef-d’œuvre vivant. À la jonction exacte entre les deux Majas, Aude et le professeur Dufresne se rejoignaient enfin. Là ! Devant moi ! Réunies ! Et la voilà qui me fixe. Fière. Féroce. Je lui ordonne de se retourner. Elle me décoche un regard foudroyant d’insolence, mais obtempère sans broncher. Je comprends qu’elle va m’obéir comme elle le fait sur la toile. D’une certaine manière, je suis déjà en elle. Je le suis depuis le début, depuis que je tire les ficelles de ses fantasmes. Dès qu’elle a le dos tourné, je sors un long foulard de soie noire de ma poche et je lui bande les yeux. Bien sûr, elle se laisse faire. J’assumerai tout. Je lui demande d’enlever son soutien-gorge. Le fragile accessoire s’écrase sur le sol. Aude essaye de paraître calme, mais elle frémit quand je lui demande de passer ses mains derrière son dos. Avec un second foulard, je lie promptement ses poignets. Elle aurait sans doute préféré des menottes, seulement moi, les menottes, ça me rappelle plutôt de très mauvais souvenirs. Je serre assez fort le lien, mais je n’ai quand même pas l’intention de lui faire mal. Ensuite, je m’accroupis derrière elle et pose mes mains sur ...
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