Las Majas
Datte: 09/06/2020,
Catégories:
fh,
nympho,
gros(ses),
grosseins,
fépilée,
Collègues / Travail
école,
telnet,
hdomine,
vengeance,
chantage,
cérébral,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
humour,
... avait guère que ça qui m’intéressait, à l’époque. En tout cas, c’était pour moi le seul but de notre relation. L’écriture, l’érotisme, le sexe, et surtout le sexe. Qu’importait qu’elle fût grosse, maigre, blonde, brune, belle ou moche ? Ce n’était pas son corps, qui me séduisait, c’était son esprit. Sa façon, si spontanée, de me révéler ses secrets les plus intimes, m’emplissait invariablement de ce trouble indicible qui précède souvent dans le ventre des hommes les grandes catastrophes, les batailles sanglantes ou les histoires d’amour tragiques et impossibles. Une sorte de mélange de terreur et de joie, en quelque sorte. Tous les symptômes de la peur – mains moites, sueurs froides, gorge et estomac noués – mais une peur qui descend jusque dans les couillons et qui dresse la verge comme si c’était le jour où l’on meurt en bandant. Elle se disait ronde. Très ronde. Blonde, et apparemment aux yeux bleus, d’après les descriptions récurrentes de ses héroïnes. Je n’ai jamais demandé. Je m’en foutais. Au début, elle avait essayé de me faire croire qu’elle était plus vieille que moi, alors qu’on avait pratiquement le même âge. Pour ma part, elle aurait pu avoir soixante-dix ans, c’était pareil. Elle aurait même pu être un homme. D’ailleurs, à un moment, je l’ai cru. Nous échangions des nouvelles érotiques, entre deux confessions intimes. Elle avait écrit de nombreux textes. Comme elle, ses récits étaient sincères et transparents. Elle y révélait souvent des expériences bien ...
... réelles, à peine romancées pour la forme, qui auraient fait bander un arbre. Ses nouvelles parlaient en général de jeunes femmes (blondes aux yeux bleus) couchant avec des inconnus, fréquemment menottées et sodomisées avec grand plaisir. Elle racontait aussi ses aventures lesbiennes. Les mots qu’elle écrivait me frappaient droit aux tripes. Certaines phrases me mirent le feu aux sangs pendant des nuits entières. Le soir, je lisais - ou relisais - des textes d’elle, et je me masturbais comme un forcené en l’imaginant dans l’action. Je crois que mes récits l’excitaient tout autant. Je me la figurais nue, mi-assise mi-vautrée devant son terminal, ses rondeurs luisantes sous les scintillements de l’écran, ses mains soit malaxant sa très lourde poitrine et maltraitant les tétons, soit étalant autour de ses lèvres intimes la mouille rutilante qui en aurait coulé. Elle s’épilait intégralement, ce qui m’avait mis le feu aux bombinettes dès que j’avais commencé à m’en douter. À l’idée de glisser mes doigts entre ses cuisses et d’y palper son con juteux, imberbe et mou, j’avais le tricotin qui forçait ma braguette et je devais presto prendre les choses en main. Je lui imaginais un visage poupin, des lèvres très charnues et de bonnes joues roses. Elle m’avait parlé du plaisir qu’elle prenait à sucer. Le goût du sperme ne la dérangeait pas – l’idée, même, lui plaisait – mais j’avais l’impression que, pour elle, toute giclée dans la bouche était considérée comme un manque à gagner au niveau du ...