Las Majas
Datte: 09/06/2020,
Catégories:
fh,
nympho,
gros(ses),
grosseins,
fépilée,
Collègues / Travail
école,
telnet,
hdomine,
vengeance,
chantage,
cérébral,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
attache,
yeuxbandés,
humour,
... qu’elle se retrouve la joue et l’épaule plaquées contre le mur. Vous comprenez, ça ? C’est l’emplâtrage grand luxe, l’embrochement ravageur, la charge héroïque, l’envol de la brigade si légère, la chevauchée des vaches qui rient, le triple galop, le grand braquet, la sixième vitesse, la tringlette grandiose, magistrale, intégrale, superlative, sanantoniesque. Madame Dufresne ondule du cul sans plus y réfléchir. Je la touille de taille et l’astique d’estoc, élastique des stocks, encore et encore. Elle sait où est la bite mais plus où elle habite ! Je rentre et sors entièrement de sa chatte, et la replante encore. Elle bredouille un truc incompréhensible, je la replante encore. Elle essaye de dire quelque chose, je lui enfonce deux doigts dans la bouche. Elle beugle. Je sors à nouveau de son ventre mais cette fois, ma verge reste en suspens aux portes de ses fesses, comme on dit dans les belles histoires de cul. Aude respire fort. Je lui appuie sur les reins pour lui indiquer qu’on change de programme. Elle plie obséquieusement les genoux. Moi, j’adore. Mon gland se pose d’instinct contre sa rosette et… pousse tout seul. Elle serre les dents. — Vous n’allez pas me dire que vous n’aimez pas ça, Professeur ? Elle ne répond pas. Je m’enfonce lentement, mais d’une seule longue poussée tant son cul est ouvert et mon gland tout rouge. Ça baigne. D’un signe de tête, et en recommençant à respirer, Aude m’informe qu’elle m’a reçu cinq sur cinq et que mon visiteur surprise a maintenant ...
... toute latitude pour se mettre à l’aise. J’entreprends alors de la bourrer lentement, puis de plus en plus fort, car il est parfois nécessaire d’écrire une phrase comme celle-ci. D’ailleurs, je vous ferai remarquer que je ne vous arnaque pas sur les descriptions, étant donné que l’énorme poitrine de ma partenaire ballotte à chaque impulsion, menaçant jusqu’à son précaire équilibre. Manquerait plus qu’emportée par la masse mammaire, elle se ramasse par terre, mon père. Magnanime et dévoué, je prends ses seins en main. J’ai des grandes mains. Pendant que je l’encule, je lui tords les tétons et les pince sévèrement. Sympa, non ? Apparemment, elle apprécie ma délicate attention. Toujours marrant, ça, quand ça fonctionne. Particulièrement avide de comparaisons bucoliques, je remarque poétiquement qu’elle couine comme une truie soumise au verrat. Quelle élégance ! Et ne comptez pas sur moi pour me taire en un instant pareil. Je l’encule aussi par les oreilles, croyez-moi. J’insulte, j’invective, j’outrage, j’offense, j’outrance, je putille, je chiennasse, je salopette, je néologise, je barbarise, je borborygme, j’onomatope, je contrepète (cherchez pas, y’en a pas), je palindromise, j’oxymore, j’anacoluthe, j’anachorète, je bachibouzouque, j’ostrogothe, je trompe la mort, je trempe la nouille, je l’embranche bien à fond tel l’échangeur de la RN 112 sur l’autoroute A6, je le lui fais savoir, puis je lui lâche un sein et plonge deux doigts dans sa fente. Puis j’en ajoute un autre, et ...