1. bords de l eau


    Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature,

    Tout a commencé le plus banalement possible. Il n'est pas rare qu'ons'entiche des femmes de ses amis. Celles-ci sont d'autant plusdésirables que possession d'un proche et pour cause interdites. Laficelle direz-vous est grosse. Un individu normalement constitué etnanti d'un cerveau solide ne devrait pas tomber dans le panneau. Pointbesoin d'être un grand théologien pour savoir que le principal du péchéréside dans la tentation et la perversion de jouir du Mal et de latransgression. On se prête volontiers à ce genre de naufrage. Baudelairene dit pas autre chose dans ses fleurs du mal. la vraie. La seulejouissance est à cette condition. Je ne mis pas trop de temps à m'enconvaincre.Elle s'appelait Nancy. Sa silhouette fluette et sa chevelure noirel’eussent rendu invisibles et comme insignifiantes si un je ne sais quoiet notamment son regard ne vous traversait et vous attirait. Malheur àcelui qui un instant était happé par ce regard. La méduse ne pétrifiaitpas à moins. Vos entrailles en étaient fouillées et bouleversées. on ensortait pas indemne de ce premier contact. Le poison chemineraitlongtemps en vos veines avant de parvenir au cœur. Vous étiez mûr pourêtre blessé un temps. Le plus sage après un bref diagnostic fut de fuirla créature et de mettre une distance infinie entre elle et nous. Maisoutre qu'un homme n'est pas lâche et ne peut s'enfuir, le désir desavoir nous ramenait dans le funeste jardin où la pomme pendait.La belle n'eût aucun mal à percevoir que j'avais mordu ...
    ... comme tantd'autres à l'hameçon. J'ai toujours été fasciné par les mystères dugouffre. Enfant téméraire je m'y suis penché volontiers. Je ne pouvaispas concevoir de faire face et de relever ce défi. Je choisisd'affronter la belle sur son terrain. Je pensais pouvoir la terrassersans trop de dommages pour moi. Il y a en maints héros un imbécile.Beaucoup ont nourri de leur cadavre les tranchées des guerres. Je partisainsi un matin la fleur au fusil. Au concret je vins à sonner aupavillon un jour que le mari, l'ami fut absent. J'avais fourbi une bonneraison. Il me fallait récupérer d'urgence une partition. En effet lesuns les autres nous jouions dans un orchestre amateur.Par le frémissent d'un rideau je sus qu'elle m'avait repéré. Je n'enattendis pas moins une longue minute. Peut-être l'avais-je dérangé enprésence de quelqu'un d'autre où plutôt qu'elle voulu soigner mieux samise et paraître présentable. Elle arborait ce jour là une robe pourpreet courte qui dévoilait ses genoux. Elle était à cette heure en bas,escarpins toute maquillée. Je me dis que décidément il ne me seraitjamais donné de la découvrir au naturel car sans artifices. A la façondes geishas elle était protégé comme d'une armure. Un sourire sedessinait imperturbable en soin visage. J'y voyais à tort peut-être unsigne d'ironie. Cela avait don de m'agacer. Je voulus qu'elle abandonnapour une fois son rôle.Après que j'eus exprimé le motif de ma venue, elle crut devoir meretenir un peu pour partager son thé ce que ...
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