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bords de l eau
Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature,
... j'acceptais marquant assezun comportement de mufle. En effet je lui assénais que je ne goûtaisguère le thé en général mais que pour elle je ferais une exception. Ellem'en sut gré ne se départant toujours du perpétuel sourire. Nous étionsvis à vis dans le salon. Elle croisa ostensiblement ses cuisses qu'ellesavait belles. Poursuivant ma technique de terre brûlée je n'affectaispas de dissimuler mon intérêt pour ses jambes. Je lui avais asseztémoigné auparavant de mon admiration. Au limite de l'impertinence jemanifestais que j'étais un mâle et que je n'étais dupe de sesminauderies. Sans son mari je me délestais du masque des bons usages.Sans ambages je lui avouais mon hostilité. J'affectais hypocritementqu’elle rendit malheureux mon ami. Personne n'était dupe du jeu qu'ellejouait. On lui soupçonnait un amant ou du moins qu'elle fit impunémentsa coquette. Tant les femmes que les hommes avaient repéré son manège.Il était notoire qu'elle accusait les apparences d'une femme de mauvaisevie. D'ailleurs on n'avait jamais rien su de son passé ni de saprovenance. Ce mystère attestait du parcours d'une aventurière. Elleessuyait imperturbablement mes propos infamants. Nantie du même sourireelle semblait m'exprimer qu'elle savait déjà tout cela et n en avaitcure. A ce moment elle se pourvut d'une cigarette devant moi. J'enmesurais tout le scandale. Elle me savait ne pas supporter la fumée.A présent son œil brillait. Son tutoiement ce jour-là me blessa. Ellecracha ces mots : "J'osais ...
... espérer que tu me racontes autre chose queces bêtises." L'un des pieds agitait à son bout l'escarpin ce quitraduisait son irritation fondamentale. Elle fulminait intérieurement.C'en était comique car son sourire impavide demeurait. Plus que jamaisj'avais envie d'entrer en cette âme labyrinthique. J'avançais résolu mespions. Je rétorquais : "Je ne veux pas te juger. Au contraire je veuxt'aider à démêler le vrai du faux et en ce sens à te réhabiliter auprèsde tous ces imbéciles." Elle ne pouvait être dupe de ma tartufferie. Jevoulais démontrer qu'en cet exercice je la valais bien. Avec ce genre degarce seule la brutalité payait.Elle n'en voulait pas moins que je m'ouvre à elle. Elle persista : " Jeveux entendre cependant de ta bouche ce que tu penses toi de ma personne?" J'avais anticipé la question. Plus cynique que jamais je poursuivais: "Je pense que tu es plus malheureuse que tu ne veux paraître. Autantque les autres tu aspires à une vraie affection et à un profond repos.Tu as toujours été en guerre. Tu aimerais un jour baisser la garde etêtre aimée pour toi-même. " Elle éclata de rire devant pareil sermon.Elle vit trop que je me moquais. Elle convint de jouer avec moi. "Doncpetit chéri tu es venu ce matin me sauver de l'enfer et de la damnation?" Je ne pus réprimer de sourire. Je n'étais pas mécontent qu'elleperçut à jour le gredin que j'étais.Elle jetait en l'air la fumée de sa cigarette un peu à la façon que faitune locomotive d'antan. Son pied se balançait à présent avec plus ...