-
bords de l eau
Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Mature,
... degrâce et moins de fébrilité. Elle enclenchait maintenant le modeséduction. A cet effet elle décroisa les cuisses. Il y eût un tempssuspendu où j'eus tout le loisir de distinguer entre autre, une culotteou du moins de voir que celle-ci était en sa partie supérieuretransparente assez pour que fut décelée la pilosité subtile de lachatte. Maints copains m'avaient témoigné qu'elle leur avait déjàprodigué ce spectacle. Elle suscitait ainsi la mine décontenancée de sesinterlocuteurs et s'en réjouissait. A son sourire je vis que ma réactionl'avait contenté. De toute façon je n'avais pu réprimer un débutd'érection.J'étais près à me jeter à l'eau. L'audace dégénérait déjà en folletémérité. Je ne fus pas peu surpris de mes mots : "Est-il possible quevous ne vous contentiez que d'allumer un homme ?" Son sourire devintméchant. "Ton défi est grossier. Qu'escomptes-tu de moi ? " e voudraispour une fois t'arracher ton masque." Poursuivis-je. Elle se renfonçadans le fauteuil. Elle avait un regard en dessous. On eût dit unepanthère prête à déclencher son ultime assaut. Allait-elle me dévorersur le champ et en finir ? J'étais prêt à ce qu'il y eût quelque choiede décisif entre nous dès ce jour. Elle para le coup. Elle me signifiaqu’elle devait interrompre. Elle attendait dans moins d'une heurequelqu'un. Bref elle me congédiait.En quelque réflexe de survie, je jouais alors mon va tout. En un instantje fus près d'elle à ses pieds. J'avais quasi la chatte sous les yeux.D'une voix sourde mais ...
... impérieuse, je l'intimais de m'accorder avant lafin de la semaine qu'elle déjeunât avec moi. Mon invitation netolérerait point de refus. Elle vit que l'honneur l'obligeait à accepterce combat. D'un air de mépris elle me lança. "Ok je te préviendraisassez tôt. Tâche cependant de choisir une bonne table !" Dans la rue jene fus pas mécontent de pouvoir avaler un grand bol d'air. L'entrevueavait été rude. J'étais furieux. Elle m'avait poussé à bout. Je neconcevais pas qu'il n'y eût entre nous un vainqueur et un vaincu. Toutequerelle doit être vidée.Notre déjeuner survint un jeudi. Il faisait frais et gris. Le ciel étaitplombé. Rien de trop chaleureux ni romantique. On eût dit que le cieleût voulu nous punir. J'avais résolu de casser la tirelire et inviter labelle en un restaurant fameux. Elle n'en attendait pas moins. J'avais lesentiment qu'elle voulait me plumer et que j'éprouvas alors monabaissement. Elle ne cacha que d'autres imbéciles l'avaient auparavantinvité. J'étais le énième sur une longue liste. Je me gardais d'enrecueillir quelques noms ; J'eus reconnu peut-être de mes copains.Ceux-ci pourraient avoir obtenu des choses avant moi. Je rongeais monfrein. Ce terrain m'était peu favorable. Je devais attendre le setsuivant pour me refaire. En effet je lui fis entendre qu'une promenadeavec elle m’agréerait.J'emmenais souvent mes proies près du canal, lieu privilégiés despromeneurs et des amoureux. Je vis que l'endroit était non moinsfamilier à ma coquine. Le mauvais temps en ce ...