1. Verte campagne : L'arbre de la prairie


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, campagne, Masturbation pénétratio, fsodo,

    La verte campagne, ça a du bon, mis à part qu’il faut impérativement une voiture. Hélas, ma compagne n’a pas encore son permis mais elle ne se débrouille pas trop mal avec la petite moto qui trône fièrement dans la petite grange qui nous sert de garage. Comme il fait beau en cette fin de printemps et qu’il y a de la place dehors, elle prépare son concours en plein milieu de la prairie sur le côté de la maison et sous l’arbre séculier planté dignement sur une petite butte. Autour d’elle, des tas de livres s’éparpillent dans l’herbe verte, le plus souvent à ses pieds, tandis que pensive, sa tête brune, aux mèches rousses, coiffée d’un vaste chapeau de paille, elle étudie consciencieusement ses ouvrages. C’est ce tableau intimiste que je contemple presque chaque fin d’après-midi quand je rentre du travail et ça me fait chaud au cœur. Je la rejoins au plus vite, sous l’ombre du grand arbre afin de profiter de la douceur de l’ambiance et aussi de celle de ses lèvres avant de m’égarer dans son cou ou son décolleté… Je suis parfaitement heureux ainsi avec elle, tout simplement. Et puis faire des gros câlins dans ces conditions est un plaisir peu compatible avec un petit appartement en plein centre ville. Et je ne parlerais pas de faire l’amour en toute volupté dans l’herbe folâtre sous une ombre accueillante… Ce ne fut pas toujours facile au début, la fermette était une vraie ruine mais au prix où nous l’avions achetée, il ne fallait pas s’attendre à un miracle. À force de patience ...
    ... et de bricolage, elle fut assez vite habitable. Il fallut attendre encore un peu pour qu’elle soit montrable à notre entourage. Ne ménageant pas sa peine, Katia, ma compagne, fit un remarquable travail de décoration intérieure. J’avoue qu’elle tricha souvent mais le résultat fut très réussi. Bon, il est vrai que je suis fier de ma Katia, à juste titre, sans me laisser toutefois aveugler par la passion qui me lie à son petit bout de personne (quoique…). Pour l’instant, je m’agenouille à ses côtés afin de l’embrasser sur les lèvres. Sa réaction sera très encourageante puisqu’elle m’attire à elle dans un langoureux baiser pour m’expliquer que j’aurais dû rentrer plus vite… Il fait beau, chaud, une fine brise agite les feuilles du grand arbre au-dessus de nos têtes. Tout est calme aux alentours, nous sommes comme isolés du monde extérieur, de ce monde agité et vrombissant, ce qui n’est pas plus mal, surtout dans une circonstance comme celle que je vis, rivé à son corps que je sens distinctement sous sa robe légère d’été. — C’est une agression caractérisée, ça, monsieur !! Dit-elle dans un souffle quand nos lèvres se séparent. — Non, une simple tentation…— Simple tentation ? Tu es sûr ?— Pour l’instant…— Pour l’instant ! Et nous nous vautrons dans l’herbe comme deux enfants, moi sur elle, épousant de mon corps toutes ses courbes à l’ombre du grand arbre. Je la désire ardemment, je ne pense pas que mon "pour l’instant" durera longtemps. Je le sais et elle le sait aussi. D’ailleurs, ...
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