Verte campagne : L'arbre de la prairie
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
campagne,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
... aller à ma passion pour elle. Je capture sa main et la dépose sur son sexe dodu. Amusée, Katia ne retire pas sa main, elle me regarde, un voile léger traverse ses yeux luisants. — C’est ça que tu veux ? dit-elle. Je hoche la tête pour toute réponse. Elle sourit, s’adosse confortablement à l’arbre et après un dernier regard appuyé, elle s’exécute docilement. Ses jambes sont largement écartées, elle se masturbe doucement, du bout des doigts, sa langue sur ses lèvres, me jetant parfois un regard sensuel sous ses longs cils. J’ai le souffle court, j’ai une envie folle d’elle, comme souvent, comme toujours. Mon sexe est tendu à fond, décalotté, gland à vif. Délicatement, je me positionne entre ses cuisses, soulevant ses fesses pour présenter ma tige durcie à l’orée de son sexe si accueillant. Son regard se fait plus insistant. Arquebouté sur mes mains, j’effleure ses lèvres humides du bout de son sexe gonflé, titillant parfois ses doigts qui continuent imperturbablement leurs douces caresses sur son sexe. Mon gland devient doucement luisant de ses sécrétions, je suis à deux doigts de tout lâcher, pourtant il ne faut pas, pas encore. Ce petit jeu l’amuse, elle se pourlèche ostensiblement les lèvres sur lesquelles je dépose de légers baisers. — Je vais aller me mettre à l’entrée de ton mignon petit trou du cul et tu continueras à te masturber tout en gigotant les fesses pour bien que tu sentes ma queue à ton entrée interdite !— En voilà bien une exigence, monsieur !— Je veux que tu ...
... me sentes prêt à plonger en toi sans y aller, que tu le veuilles, que je sente tes fesses autour de ma bite, ton petit trou paré à être perforé !— Tu es un petit salaud, toi ! Elle proteste pour la forme mais ne fait rien quand je présente ma tige entre ses fesses, appuyée sur la cuvette de son anus. Elle me regarde fixement, se masturbant toujours puis commence à remuer du bassin, comme pour s’empaler délicatement sur mon pieu de chair humide. Ca fait un bien fou d’être là, prêt à entrer en elle par cette voie étroite. De temps en temps, je lui mordille un téton dressé, baise une lèvre luisante. Elle a accéléré la cadence, ses doigts frétillent comme des fous sur sa chatte, son bassin ondule dangereusement autour de mon sexe, ma tige arquée, comme prête à rompre. Je serre les dents, il ne faut pas que je me lâche, il faut que je résiste à l’envie folle de la perforer, de plonger dans son anus, d’y engouffrer toute ma longueur puis de me vider dans ses entrailles chaudes. Elle gémit, elle se tortille, ses doigts se font plus frénétiques, ma tige forme un angle dangereux, elle insiste, pousse son bassin vers mon sexe meurtri. Je serre les dents de plus belle, je tremble de tout mon corps, mes doigts s’enfoncent dans la terre, entre les racines. Des petits cris rauques sortent de sa bouche, ses fesses enrobent mon gland, s’enfouissant dans leurs chairs roses et chaudes, son petit trou semble s’ouvrir, voulant m’aspirer, m’engloutir. Je n’y tiens plus. Dans un grand cri sauvage, ...