Verte campagne : L'arbre de la prairie
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
campagne,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
... ses mains glissent dans mon cou et elle se cale sous moi, cherchant le meilleur angle… Nos bouches se rivent l’une à l’autre durant un très long temps ; j’adore ses baisers, elle aussi et nous ne nous en privons pas ! Mes mains s’égarent où elles peuvent et quand ma bouche se dessoude de la sienne, une bretelle de sa robe d’été a glissé le long de son épaule, dévoilant une épaule nue. J’en profite tout de suite pour y déposer quelques baisers brûlants, tout en remontant insensiblement vers son cou. Elle me laisse faire. J’arrive à son oreille que je frôle du bout de ma langue ; elle frémit, tente de s’échapper à ce genre de torture mais, hélas pour elle, elle est sous moi et je ne la laisserais pas s’enfuir ainsi. — Tu n’as pas honte !!— Pas du tout ! Pourquoi ? Dis-je innocemment.— Tu devrais !!— Ah oui ? Je continue ma douce torture ! Elle se débat plus faiblement, je sais qu’elle apprécie et moi, aussi d’ailleurs… — Ahiii !! C’est pas possible, ton truc ! Souffle-t-elle.— Ah oui, mon amour ?— Tu cherches à prouver quoi, là ?— Oh rien du tout parce que je suis sûr de mon coup, Katia chérie !— Quel prétentieux, ce type !! Ma main en profite pour déboutonner sa robe légère. Et comme elle n’a rien en dessous, je sens que je vais beaucoup apprécier ! Très vite, sa robe s’échancre et je capture un sein à la pointe déjà un peu dressée. J’en profite pour pincer délicatement le téton offert tandis que ma paume caresse l’arrondit lourd de sa chair blanche. J’ai quitté son oreille ...
... pour sa bouche aux lèvres sucrées. J’ai un certain mal à me contenir, de ne pas déchirer sa robe sur le champ et de la posséder sur l’herbe à l’ombre du vénérable arbre. Sa robe est à présent complètement ouverte, avec une vue intégrale sur son corps blanchâtre avec pour seul décor une mince petite culotte en dentelle qui m’exciterait plus qu’elle m’assagirait ! — Tu n’as vraiment pas honte !! Dit-elle, d’un air faussement sérieux quand je quitte ses lèvres.— Pas du tout ! Tu sais très bien que je suis un profiteur, donc j’en profite !— Toi et ta logique !— C’est mon métier, ma chérie ! Elle soupire : — Et s’il venait du monde, hein ?— Ici ? Isolés comme nous le sommes ?— Pas tant que ça !— Tu sais très bien que cette pâture est à l’arrière de la grange et donc assez cachée de la route sur laquelle il doit bien passer trois ou quatre voitures par jour au grand maximum ! Katia se redresse un peu, dardant ses seins sous mon nez : — Justement, mon bonhomme, je n’ai compté que deux voitures depuis ce matin !— Tu parles ! Mis à part les oiseaux et éventuellement les satellites de surveillance, personne ne nous voit !— Et les satellites justement ! Il y a peut-être deux cent bonhommes qui se rincent l’œil en mondovision !— Et bien qu’ils se rincent l’œil ! De toute façon, il n’y a que moi, comme homme, qui en profite vraiment !— Toi, comme homme ? Ca reste à prouver !— T’inquiète pas, je ne vais pas tarder à te le prouver !— Des paroles, que des paroles, toujours des paroles !! Elle ...