1. Douce Laurence


    Datte: 15/06/2020, Catégories: ffh, Collègues / Travail Oral fdanus,

    ... que je vais venir, je reconnais cette contraction annonciatrice de plaisir et de délivrance. Mais non, pas maintenant et pas comme ça ! Un rêve ne peut procurer de telles sensations. Un rêve ne peut pas me donner autant de plaisir. Alors si tout ceci est bien réel, il faut que ce soit autrement, plus grand, plus fort, beaucoup plus fort. J’ai presque des envies orgiaques. Pleins d’images défilent rapidement devant mes yeux, emplies de femmes, de sexe, de scènes plus torrides les unes que les autres. Je prends ses mains posées sur mes fesses. Elle s’arrête, me regarde, le regard interrogateur, je plonge mon regard dans le sien, lui fais non de la tête et je me retire. Je tire ses bras pour la redresser et me colle à elle, écrasant sa poitrine, mon sexe battant contre le sien. Elle écarte légèrement les cuises pour qu’il puisse venir se loger contre le sien, les resserrant ensuite, afin de lui procurer un écrin soyeux. Je plaque ma bouche contre la sienne, partant à l’assaut de ses lèvres. La réponse est rapide, je sens aussitôt sa langue venir au contact de la mienne. Elles se cherchent, se trouvent, se repoussent, s’attrapent, entamant une danse effrénée. Nos souffles se font courts, le désir nous envahit. Elle commence doucement à onduler, frottant ainsi son sexe contre le mien. Je sens ses lèvres inférieures qui s’entrouvrent, laissant ainsi s’échapper la preuve de son plaisir. Mes mains caressent son dos. Ma main droite trouve le chemin menant à ses seins et vient se ...
    ... déposer sur ce fruit gorgé d’amour, tendu et fier, pointant un arrogant petit téton, droit dressé me défiant. Mes doigts le caressent, le faisant durcir encore plus. Laurence a posé sa tête dans mon cou, le souffle court, sa poitrine monte et descend, gonflée par le désir. Elle ondoie de plus un plus vite, prenant autant de plaisir qu’elle peut m’en donner. Quelle sublime sensation de sentir son sexe humidifié, coulant de désir se branler sur le mien, ses cuisses soyeuses devenant du coup de plus en plus moites, glissantes, imprégnées de nos sécrétions. Elle accélère encore le rythme, essaie au maximum de serrer ses cuisses pour augmenter la pression sur mon sexe, le faisant ainsi remonter dans le sien. Par moments, mon gland glisse sur l’entrée de son antre, et à chaque fois je la sens qui vibre contre moi, que son plaisir augmente, que sa jouissance arrive. Les ondulations commencent à prendre un rythme effréné, presque désordonné, preuve qu’elle ne va pas tarder à jouir. Je plaque mes mains dans le creux de ses reins, l’empêchant ainsi de bouger. Elle me regarde, me supplie du regard, ne comprend pas. Je l’embrasse et lui dis : — Non pas maintenant, pas encore… Et toujours dans cette position, je la pousse doucement, la guidant, restant entre ses cuisses, doucement nous progressons, chaque pas provocant de nouvelles frictions, chaque friction nous portant au bord de la jouissance, toujours plus forte, toujours plus profonde. Nous arrivons au seuil de la chambre, je n’en peux ...
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