Douce Laurence
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
Oral
fdanus,
... remonte en suivant le long de sa colonne. J’arrive à sa nuque, douce, fine, zone si propice à de sensuels baisers. Son souffle s’accélère légèrement, son dos se fait rond, elle s’étire. Mon pouls s’accélère, ce corps, son contact m’électrise. Elle lève la tête, ses yeux sont remplis, non, ils débordent d’amour. S’avance et dépose un délicat baiser sur mes lèvres. Elle se recule, me regarde. Je dois avoir une tête comique, car elle sourit et me dit : — Ne fais pas cette tête là, je ne vais pas te manger. En tout cas pas tout de suite… J’ouvre la bouche mais elle y dépose un doigt. — Chut… Sa main se pose sur ma joue, comme elle l’avait déjà fait hier, elle est si chaude, si rassurante, j’ai envie de fermer les yeux et de me laisser bercer, de glisser à nouveau dans cette douce torpeur que je viens de quitter. — Mon amour, peux-tu me faire un peu de thé ? Mon amour ! Elle m’a appelé mon amour ! Et moi, comme si de rien était, comme si nous étions un vieux couple, je me lève délicatement, lui pose un baiser sur le front et me dirige vers la cuisine. J’ai l’impression d’être sur un nuage, un peu comme si j’étais dans un univers parallèle, vous savez quand dans cet épisode de la quatrième dimension où le gars ne sait jamais s’il est éveillé ou en train de dormir et qu’en fait il vit dans deux univers à la fois. Eh bien, c’est un peu mon cas, en ce moment. Quelque part, je n’arrive pas à me persuader que je ne suis pas complètement en train de rêver… Des bruits de pas derrière ...
... moi, des bras qui m’enlacent, un corps nu contre mon corps, une bouche embrasse ma nuque. — Tout compte fait, laisse tomber le thé, je préfère te manger maintenant… Ses mains descendent lentement vers mon bas ventre et se rejoignent à la base de mon sexe. Décidément, ce rêve est chouette, faites qu’il dure toute une vie. Son corps glisse contre le mien, sa bouche embrasse mon dos, sa langue me lèche, m’électrise, arrive sur mes fesses. Un baiser sur chacune et elle me retourne. Mon sexe, bel amant obéissant, s’était déjà dressé à l’appel de cette dame, de cette maîtresse, de SA maîtresse. Ses mains se repositionnent à la base de celui-ci et ensemble commencent à le caresser, délicatement, en de grands mouvements amples, augmentant en moi la raideur de ce membre bandé. — Pas mal, voyons ce que je peux en faire maintenant… Ses lèvres se posent sur mon gland, sa bouche s’ouvre, sa langue s’avance, passe sous celui-ci. Le contact me fait presque sursauter. Sa bouche se referme, je suis en elle. Elle ne bouge pas, se contente de faire des succions à ce gland, comme pour en extraire tout le nectar. Ses mains se dégagent et se posent sur mes fesses. D’un seul coup, elle engouffre mon sexe jusqu’à la base. Je sens son souffle contre mon ventre, sa langue qui m’enveloppe. Le retour se fait lentement. Elle continue ainsi ses mouvements rapides et lents et malgré ma concentration, j’ai du mal à me retenir pour ne pas jouir dans cette bouche ainsi offerte. Mon souffle devient court, je sens ...