Douce Laurence
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
Oral
fdanus,
... bénéficier du spectacle de "mon service trois pièces" à l’ensemble du monde ! Heureusement que j’habite au quatrième étage et qu’il n’y a personne en ce moment dans les appartements d’en face. Si ! Justement ! Il y a quelqu’un, une femme, qui me regarde. Elle ne paraît pas choquée, elle me sourit et me fait un signe de la main, main fermée le pouce vers le haut. Je suis sûr qu’elle a entendu Laurence jouir. Il ne peut en être autrement. Le cri qu’elle a poussé aurait rendu sourd un mort ! Des bras m’entourent, des dents mordillent ma nuque. — Moi, j’en ai pas fini avec toi, tu vas me payer ça… Une de ses mains agrippe mon sexe et me tire. Ainsi pris en main, elle me dirige et me pousse sur le lit. — Alors comme ça tu aimes torturer ! Si tu aimes la torture tu vas être servi ! Elle arbore un sourire démoniaque et se penche vers moi… Oh mon Dieu, je sens que cette journée ne fait vraiment que commencer. Je n’ai plus qu’à réserver une chambre à l’hospice, car à la fin de la journée, j’ai l’impression qu’il ne va plus rester grand-chose de moi ! Sa langue joue avec mon lobe d’oreille, elle le lèche, le mordille. — Si tu ne m’offres pas un petit déjeuner de suite, je te le mange…— Ok ! Ok ! Mi-temps ! Temps mort ! De toutes façons, c’est déjà servi et ça n’attend plus que toi.— Toi t’es un amour, tu sais parler aux femmes. Un ange passe… Assis dans le lit, l’un en face de l’autre, le plateau entre nous, nous dévorons à pleines dents, car l’intermède nous a ouvert l’appétit. Elle ...
... est donc assise en face de moi, les jambes en tailleur. Elle est belle, je la vois vraiment maintenant, j’ai le temps de découvrir, d’apprécier, de la détailler. Bref de me rincer l’œil, comme on le dit si bien. Aucune partie de son anatomie ne me sera plus inconnue. — Bah ! Mon Jean-Marc ! Qu’est ce qui t’arrive ? Je la regarde, son regard est coquin, un petit sourire aux lèvres, elle me fixe et me désigne le bas de ma personne. Effectivement, le spectacle qu’elle m’offrait avait agit normalement sur moi, provoquant un début d’érection. — Que veux-tu ma belle Laurence, si tu n’exposais ainsi à mes yeux les charmes et la beauté de cette chatte que je viens d’honorer, il en serait peut-être autrement !— Mon pauvre Jean-Marc, je suis vraiment méchante avec toi… Elle se penche vers moi et me tend ses lèvres. Je l’embrasse, délicatement, baiser presque chaste, comme de vieux compagnons de route. — À propos, comment se fait-il que tu sois chez moi ?— Comme tu n’étais vraiment pas dans tes baskets j’ai appelé Angélique et je lui ai expliqué. Elle avait bien vu que tu t’étais attaché à elle et elle a eu peur. C’est la seule solution qu’elle a trouvée à ce moment pour, comment dire, pour te l’expliquer sans avoir une confrontation avec toi. En fait elle ne voulait pas te blesser.— Pas très réussi son truc.— Je sais, c’est ce que je lui ai expliqué. Elle avait l’air vraiment désolée. Je lui ai demandé de passer te voir et de t’expliquer la situation de vive voix. Comme elle était un ...