Douce Laurence
Datte: 15/06/2020,
Catégories:
ffh,
Collègues / Travail
Oral
fdanus,
... au milieu des siennes, l’obligeant à les écarter. J’embrasse sa nuque, son dos, ses fesses, ses jambes. Mais mains parcourent ce corps mis à ma disposition. Je le masse, le pétris. Je m’occupe de ces fesses, douces collines exaltant le fantasme des hommes. Elles sont soyeuses, fermes. Je les caresse du bout des doigts, cherchant, provoquant des frissons. Mes lèvres rejoignent mes doigts. Elle se tourne légèrement sur le côté, remontant une jambe, m’invitant par ce geste à continuer dans ce sens. Mes caresses se font plus appuyées. Ma langue a rejoint ces soldats du plaisir et à son tour cherche la réaction, l’accord, le consentement. Mes doigts descendent le long de cette cuisse ouverte, caressant l’intérieur, cherchant cette zone si douce, près de l’aine. Ma langue continue son chemin, descendant le long de cette raie, dans l’espoir d’y trouver un trésor. Son corps participe, acceptant ces offrandes, montrant son bonheur en ondulant, allant au-devant de mes explorations. Afin de m’aider dans mes recherches, elle lève légèrement son bassin, me présentant ainsi, plus de surface à découvrir. Je profite de son geste pour glisser les coussins sous son ventre afin de ne pas la fatiguer. Je me trouve à présent à plat ventre entre ses cuisses. Ma langue s’occupe de sa rosette, la léchant, la titillant, pendant qu’une main remonte sur ce sexe ouvert, palpitant et avide d’être un territoire conquis. Effleurant celui-ci, je me dirige vers son bourgeon, que je devine dressé par ...
... l’excitation. Je l’entends, elle ronronne de plaisir, telle une chatte dans les bras de son maître. Avec ses mains elle écarte ses deux globes s’offrant complètement, demandant plus, plus de plaisir. Mouillant un doigt, je l’introduis dans ce palpitant petit trou, m’enfonçant entièrement, provoquant la contraction de celui-ci et un petit cri de plaisir de ma maîtresse. Mouillant deux doigts, je les introduis délicatement dans sa grotte d’amour. Je la sens se contracter, palpiter, gangue vivante, animée par sa propre âme. Je commence un doux va-et-vient dans chaque territoire conquis. Le ronronnement a laissé place à des gémissements. Tout en continuant mes mouvements, je pivote sur le dos, enfouissant ma tête le plus profondément sous son ventre, cherchant de la langue son clitoris. L’ayant trouvé et le connaissant, je commence à le lécher, le sucer, le mordiller. Elle pousse soudain un râle de plaisir, se soulève sur les bras et se met debout au-dessus de moi. Ainsi positionné, j’ai une vue imprenable sur son sexe, encore palpitant, dégoulinant de plaisir. Elle se positionne au-dessus de ma tête et s’accroupit sur mon visage, m’offrant le bonheur une fois de plus de la déguster, non, de la dévorer à pleine bouche. J’embrasse à pleine bouche ces lèvres gorgées par l’envie. Ma langue joue à l’entrée de sa grotte, la léchant, rentrant, sortant, tel un petit sexe. Elle se relève, pivote et s’allonge sur moi. Sans autre forme de procès, elle prend directement mon sexe en bouche, le ...