1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 15/06/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession,

    ... ses dessous plutôt aériens. — Maryse, il ne faut…— Je ne te plais pas ?— Mais si, mais la vengeance n’est pas…— Ah, tu crois que c’est pour me venger de mon mari.— Oui.— Tu as raison, mais ne néglige pas ton sex-appeal, mon petit Marc. Dès que je t’ai vu, j’ai eu envie de toi. Ta jeunesse, ta stature, et aussi ce qu’on devine sous ton short. Alors, crois-moi, au moins l’infidélité de mon mari me permet de réaliser ce que je n’aurais jamais osé faire ! Pendant ce discours, elle dégrafe son soutien-gorge et fait glisser sa culotte. Je l’avais vue en maillot de bain. Sa nudité la rend encore plus désirable. Une beauté lourde, enveloppée, des seins qui respirent, des hanches dont la rondeur la rend callipyge et même cette chatte, juste en face de mes yeux, ce mont de Vénus outrageusement bombé, ces lèvres très marquées et aussi ce bourrelet qui ne peut être que le bouton encore en retrait. Je suis aussi étonné par la nudité totale qu’aucun poil ne dissimule. Georges a menti. J’en ai la preuve sous les yeux. Peut-être cherchait-il une excuse pour son infidélité en traitant sa femme de « bigote, pudibonde, frigide, n’aimant pas le sexe, etc. ». Une bigote qui a dû utiliser l’eau bénite pour se raser la moule. Une pudibonde qui cache bien son jeu, à défaut de se cacher elle-même. N’aimant pas le sexe ! Et sa façon de me séduire ! Quant à « frigide », c’est bien parti pour que je puisse vérifier ! — Je te plais ?— Oui. C’est à mon tour. Elle se charge de me déshabiller. Chaque ...
    ... parcelle de peau révélée fait l’objet de caresses. Ses mains sont partout. Je suis debout face à elle afin qu’elle puisse tirer mon pantalon. Elle se penche et ses seins pendent comme deux masses à la fois fermes et souples. Elle s’agenouille pour mon slip. Mon érection est plus que visible, elle déforme le tissu qui moule ma bite de façon provocante. Elle prend bien soin de tirer sur l’élastique afin que le gland ne s’accroche pas et ne relâche le tissu qu’une fois ma queue totalement libérée, mandrin de chair si gorgé de sang qu’il s’est plaqué contre mon ventre. Je crois qu’elle ne quitte plus des yeux cette magnifique excroissance, j’ai une pensée pour cette Lucina qui a surpris tout le monde, alors qu’elle tire sur le slip pour enfin me rendre libre de mes mouvements. Spontanément j’ouvre les jambes pour retrouver un équilibre. Ma nature est exposée à son regard et mes couilles déjà gonflées doivent lui paraître des fruits bien murs. — Je le savais, dit-elle avec un regard comme un enfant qui découvre le cadeau tant attendu en arrachant d’impatience l’emballage qui ne sert qu’à retarder son plaisir. Elle approche ses mains dans un geste d’une douceur extrême. Celle qui se saisit de ma hampe tire doucement sur la peau comme pour en vérifier la mobilité et sa propension à se tendre pour recouvrir le gland puis se relâcher pour le laisser dégagé et… oui, dégagé pour que deux lèvres se posent dessus et découvrent la délicatesse de la fine peau rose si sensible que je vibre de ce ...