1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 15/06/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession,

    ... simple baiser. L’autre enveloppe les couilles et je me sens l’espace d’un instant le taureau dont on vérifie les attributs. Mais cette main passe la cuisse et explore mes fesses. Elle explore, bien vite rejointe par l’autre, car ma queue qui est en bouche et qui se tient bien verticale n’a pas besoin de soutien. Elle me pelote les fesses, n’hésitant pas à explorer la raie en y glissant ses doigts. Elle me suce, lèvres rose carmin qui tranchent sur le rose pâle de ma peau, mais des lèvres gourmandes, gloutonnes qui laissent parfois une langue vicieuse venir lécher la sucette de chair. C’est bon ! C’est beau ! Quel homme n’apprécierait pas cette prière de femme, implorant le « Dieu Priape », lui apportant du plaisir avec l’idée que ce plaisir va le rendre plus gros, plus fort, plus vigoureux et qu’ensuite la bite céleste trace son chemin dans la grotte secrète. Moi je suis déjà fort, gros, dur, mais aussi sensible à ses caresses qui entament mon capital « résistance ». Voilà une femelle qui connaît son affaire ! Je comprends que son mari aille voir ailleurs, car le temps altère le désir, mais il n’a pas le droit de la rabaisser devant les autres, même si ces « autres » sont sa maîtresse et des inconnus. Oui, elle connaît son affaire. La grosse bite est maintenant brillante de salive, de la salive qui ponctue aussi les lèvres nourricières. Elle me pousse un peu plus contre le lit. Je m’y assois. Elle se redresse et j’ai devant moi cette beauté enveloppée avec cette poitrine si ...
    ... imposante. Je m’allonge et aussitôt elle vient sur moi, m’enjambe, me chevauche, se tient légèrement penchée, tirant sur mon mandrin, pour l’éloigner de mon pubis, pour aller vers un autre, une chatte, une fente et déjà un gouffre qui m’engloutit. Elle est assise sur moi, bien droite le visage rayonnant. — Oh que tu es dur. Je te sens si bien. Ce n’est pas comme celle de Georges qui est trop flexible. Je suis un pieu autour duquel elle ondule. Elle ondule de partout. Ses hanches tremblent un peu, mais ses seins sont des boules qui se balancent. Et puis elle m’explore autrement. Elle monte et descend, se ramonant la grotte avec des gémissements de souris. Mes mains jouent avec ses seins, masses de chairs avec des aréoles énormes et des tétons qui pointent. — Fais-moi mal. Oui, fais-moi mal ! Il suffit de demander. C’est moi maintenant qui contrôle sa baise sur moi. Chaque téton roulé entre pouce et index est tiré vers le haut, soulevant les seins, engageant la femme à se lever de ma bite, pour redescendre, toujours guidée par ses seins. Elle gronde. Elle gémit. — Encore ! Encore !— Caresse-toi le clito, ordonné-je à celle qui n’est maintenant plus qu’une femelle en chaleur. Elle le fait. Son plaisir est une évidence. Je sens parfaitement sa liqueur inonder ma queue. C’est une femme généreuse de partout. Mais moi j’ai envie de me finir autrement. D’un coup de rein je la chasse de son assise. Elle est maintenant sur le lit. — À quatre pattes, salope. Pas un mot de protestation. ...