1. Sissy à bord (Ep. 1)


    Datte: 19/06/2020, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... terre, je les ai vus descendre. Il n’y a que quelques hommes à bord. Dont un sur le pont, près de la rampe. Tant qu’il resterait là, je ne pouvais monter sur le bateau. Je cherchais un autre moyen de grimper à bord quand la tête d’un autre marin apparut sur un pont supérieur.« Hé Mike, j’ai oublié mes cigarettes. Tu peux pas vite aller me les chercher avant que le Capitaine revienne ? »Le marin près de la rampe se retourna et regarda vers celui qui venait de l’apostropher.« Pffff Will, t’es vraiment chiant ! Faut toujours que t’oublies quelque chose. Bon, je vais te les chercher, mais tu m’en dois une, hein, encore une fois ! »Il quitta les abords de la rampe et entra dans le bateau, ma chance ! En trois bonds je fus sur la rampe, qui malgré mon maigre pas cogna contre les docks, et en deux autres bonds je fus sur le pont du bateau. Il est immense ! Sur ce pont ont été déposés des centaines de containers, des verts, des rouges, des bleus… Mais le marin revint, j’eus juste le temps de me cacher entre deux containers.Il regarde à gauche, à droite. Le bruit d’une porte se fait entendre plus haut.« - Tu les as Mike ?- Ouais, ouais… bizarre, il m’a semblé entendre un bruit. Bon, je te les montes. »Le marin s’éloigna. Je comptais mentalement jusqu’à dix, puis sans un bruit, m’approchais de la structure métallique, dans laquelle se dessinait une porte. J’entrais, tous mes sens aux aguets, guettant le moindre bruit. Je choisis les escaliers qui descendaient vers un pont ...
    ... inférieur. Le sol, les murs, tout était en métal, avec une peinture gris et crème, qui s’écaillait par endroit, la rouille présente partout. A un moment j’entendis des voix et me jettais dans la première ouverture, refermant doucement la porte derrière moi. Avant que la faible lueur du couloir ne disparaisse, j’eus le temps de voir que j’étais dans une sorte de remise, où il y avait des caisses, la réserve de vivres de bords, d’après les différentes inscriptions sur les cartons. Des armoires, et au fond, des filets, des hamacs, des impers. Je fermais tout à fait la porte, le noir fut total, et tâtonnant, j’allais me cacher dans le fonds de la pièce.Les minutes, sans doute les heures passèrent. Des bruits étouffés me parvenaient de temps en temps, les marins sans doute tous à bord. Dans un demi-sommeil, j’entendis le bruit de sirène, tandis qu’un bruit monotone se fit entendre dessous moi, les moteurs se mettaient en route ! Je partais pour mon rêve, pour ma nouvelle vie !Ce qu’il me semblait une éternité était passée (j’appris plus tard que ce n’était que deux jours) depuis que nous avions quitté le port. J’avais jeté au sol quelques hamacs, m’en faisant matelas et couverture. J’avais retiré mon pantalon et mon pull pour dormir à l’aise, il faisait chaud, je devais être juste au-dessus de la salle des machines. Le ronron hypnotisant du moteur, ajouté à la houle, me firent dormir quasi tout le temps… Mais j’avais vidé mes biscuits et mon eau. N’ayant aucune idée de la durée de la ...
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