Sissy à bord (Ep. 1)
Datte: 19/06/2020,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... traversée, je savais qu’il fallait que je me ravitaille. Je décidai de tenter une sortie, pour voir si je pouvais remplir ma bouteille quelque part. Toujours dans le noir, je tâtonnais avec difficulté à cause du roulis jusqu’à la porte. Je voulus l’ouvrir, mais… elle était fermée ! De l’extérieur ! Mince ! Il me semblait être dans la réserve de vivre, peut-être qu’en tâtonnant je trouverais quelque chose que je pourrais directement consommer ? Autre chose que des broîtes de conserve, je ne saurais pas les ouvrir ! Je tâtonnais doucement vers les étagères, lorsque…CLICK-CLACK !La porte s’ouvrit ! J’eus juste le temps de me jeter dans les hamacs pour me cacher. Il faisait sombre, mais je devinais qu’ils avaient allumé la lumière dans la pièce, moi je n’avais même pas pensé à chercher après un interrupteur !« Bon, je fais le guet, mais grouille-toi, Mike ! »« Ecoute Will, tu m’en devais une ! Tu as la clé de la réserve, et j’adore le rhum… il doit en avoir quelque bouteilles par là… »« Hé, t’en pique pas plus d’une, sinon le capitaine va s’en apercevoir, et après c’est moi qui… Mike ! Attend ! Y’a quelque chose qui a bougé là-bas ! »« Tu crois que c’est un rat ? »« Un rat, j’pense pas… un rat qui foutrait la réserve de hamacs par terre ? Là, y’a quelqu’un caché dessous ! »Je commençais à avoir les membres qui grelottaient de peur, caché sous mes hamacs, tétanisé, n’osant pas bouger… soudain, deux mains m’agrippèrent, je criais de peur, tentais de me débattre, mais je fus tiré ...
... sans ménagement. Le deuxième marin rejoint le premier, et m’envoya une claque derrière la tête.« Ta gueule ! Un clandestin ? Faut qu’on prévienne le Capitaine ! »Et je fus traîné sans ménagement dans le bateau, en chaussette et caleçon. Chaque marin que nous rencontrions nous suivirent, curieux de savoir ce qui se passait. Ils me traînèrent dans le couloir, puis dans un escalier, et je me retrouvais sur le pont. Le ciel était gris, la houle forte, et surtout le vent marin était fort… le froid fouetta mon corps, qui se couvrit de « chair de poule »… soudains, ils s’arrêtèrent.« Capitaine ! Regardez ce que nous avons trouvé dans la réserve ! »Pour la première fois, j’osais regarder les hommes qui m’avaient traîné jusqu’ici. Deux rudes gaillards. L’un était assez grand, pas très gros, mais je sentis à sa poigne qu’il était musclé. Des cheveux châtains, assez long encadrait un visage allongé et sec. L’autre était plus petit, un peu plus gros, des cheveux roux en batailles, mal entretenus, avec des rouflaquettes, rousses, impressionnantes. Tous deux étaient habillés de jeans, grosses chaussures de dockers, un avait une grosse veste Parka, l’autre un manteau rapiécé, bleu marine.Je regardais le capitaine. Il devait avoir une quarantaine d’année, un regard gris pénétrant… il avait une autorité certaine, tout de suite on sentait que c’était un homme à qui on ne mentait pas. Il vous perçait à jour rien qu’avec ses yeux. Ses cheveux noirs, dont une frange tombait bas sur son front, était ...