1. La Grotte aux Fées


    Datte: 19/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, frousses, copains, forêt, jardin, parking, voiture, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, humour, policier, aventure,

    ... Dire qu’elles ne se connaissaient pas il y a encore deux heures… Là-bas, le festival bat son plein, Isaure ne cessant de se tortiller sous les coups de langue experts. Par contre, au vu que ce qu’elle achète à longueur de temps, j’aurais pensé que la lingerie de la belle-sœur aurait été plus raffinée : certes, elle porte une paire de bas tops, mais sa culotte, désormais roulée en boule sur l’épaisse moquette, tenait visiblement plus de la montgolfière que du string. De temps à autre, Charlotte reprend son souffle et, abandonnant le bouton magique, enfonce allégrement deux ou trois doigts dans la caverne intime de sa partenaire qui n’en finit plus de gémir… Cela en résonne désormais dans ce parking souterrain fort heureusement désert. Enfin, désert, pas tant que ça. Déjà, il y a moi, qui ne rate pas un détail du spectacle et que les deux nénettes ont soigneusement pris soin d’ignorer, ce qui est finalement assez logique puisque, pour ces gens-là, le petit peuple auquel j’appartiens n’existe tout simplement pas. Mais surtout, bien planqué dans la pénombre et utilisant un appareil silencieux et une pellicule qui ne nécessite pas de flash – eh oui, le numérique n’existe pas encore – il y a mon cher colonel qui mitraille la scène sous tous les angles dont il dispose. Un cri, nettement plus strident que les autres, est à deux pas de déclencher les alarmes des voitures stationnées alentour tant il est sonore. C’est la belle Isaure qui vient de jouir… Intérieurement, je ne peux ...
    ... m’empêcher d’imaginer son visage tordu sous l’orgasme et figé pour l’éternité sur la pellicule photographique. Ah, comme souvent dans les amours entre femmes, l’heure est au match retour. La jupe à son tour retroussée, c’est à la belle-sœur de faire risette à Charlotte. Cette dernière, elle, ne commet pas de faute de goût : bas noirs, porte-jarretelles de dentelle noire et, comme il se doit, pas de culotte. Je la connais depuis assez longtemps pour savoir qu’elle n’a pas l’habitude de s’encombrer d’artifices inutiles. À l’époque, mon expérience sur les séances de gougnottage se limitait aux VHS et aux petites démonstrations auxquelles Véronique et notre rouquine s’empressaient de se livrer devant moi pour réanimer un matériel quelquefois au bout du rouleau… Mais là, pas besoin d’être spécialiste pour se rendre compte que cette seconde manche est nettement moins relevée que la première. J’en ai l’illustration lorsque, après un long moment entre se jambes, Charlotte finit par repousser la tête de sa lécheuse pour se finir seule, deux doigts d’une main dans la chatte et deux de l’autre sur le clito. Nouvelle jouissance, nettement moins flamboyante que la première. Les deux femmes se séparent ; j’ouvre la porte de la grosse Mercedes, et roule ma poule. Encore une fois, à aucun moment je n’ai l’impression qu’Isaure exprime la moindre gêne à mon égard alors qu’elle sait pertinemment que je n’ai rien raté de ses ébats avec une inconnue. Je suis transparent, je n’existe pas : il faudra ...
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