1. La Grotte aux Fées


    Datte: 19/06/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, fplusag, hagé, fagée, jeunes, frousses, copains, forêt, jardin, parking, voiture, vengeance, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, humour, policier, aventure,

    ... est située dans une vieille maison bourgeoise, et son parc, presque intégralement boisé, est immense. C’est d’ailleurs sur la fourche d’un grand chêne avec vue directe sur le bureau du tabellion que mon colonel, matériel en bandoulière, a pris place tandis que je planque dans un bosquet à proximité immédiate de sa fenêtre. Si la position d’observation de de Mansy est parfaite, ma vue à moi ne me permet d’observer qu’une bonne moitié du bureau ; mais grâce aux talkies-walkies gracieusement mis à notre disposition par l’armée française, je reste en contact avec le colonel. J’entends sa voix grésiller dans mon écouteur. — Il vient de faire sortir son clerc… Attention, c’est parti. À quelques mètres de moi, Caroline vient d’entrer. Superbe ? Le mot est faible ! Je comprends soudain pourquoi de Mansy tient tellement à ce que je sois prêt à intervenir. Maquillée, coiffée de main de maître, encore plus blonde que blonde et vêtue d’une robe blanche qui la moule comme une seconde peau, elle est officiellement à la recherche d’un appartement. — J’ai entendu parler d’un grand six-pièces avenue Foch… C’est bien vous qui en assurez la vente ?— Absolument, Mademoiselle… Je vais vous chercher le dossier. Planqué derrière mon arbuste, j’assiste alors à un petit numéro qui vaut son pesant de cacahuètes : la robe de Caroline est si ajustée qu’il est évident qu’il lui est impossible de porter quelque chose dessous, sans quoi cela transparaîtrait au travers de l’étoffe. Mais à côté de ça, cette ...
    ... même étoffe est si serrée qu’il est à tout jamais impossible à Duchemin d’apercevoir quoi que ce soit, même si sa cliente est en train de nous improviser un petit Basic Instinct avant l’heure. — Le prix importe peu, vous savez ; mon mari est en déplacement à l’étranger pour plusieurs mois et il m’a donné carte blanche. J’ai beau savoir que tout ce baratin est parfaitement bidon, je me retrouve aussitôt avec une violente érection. Le notaire, lui, ne sait carrément plus où il habite. — Par contre, j’aimerais le visiter cet après-midi. C’est possible ? Comme si tout cela ne suffisait pas, elle vient d’adopter une voix qui ferait bander un eunuque. — Bien sûr… Je m’occuperai personnellement de la visite… Quatorze heures, ça vous va ? ---ooo0ooo--- Bien évidemment, l’appartement de l’avenue Foch appartient à un ami du colonel de Mansy qui lui a prêté ses clés. Bref, à deux heures moins quart, nous sommes déjà en position, lui dans le placard face à la cuisine tandis que je planque dans le dressing. Le bruit caractéristique d’une serrure ; la représentation va commencer… Exit la robe blanche : Caroline porte cette fois un ensemble tailleur-jupe qui, comme de bien entendu, ne lui arrive qu’à mi-cuisses et qu’elle porte visiblement avec des bas tops dont les jarretières apparaissent à chacun de ses pas. À titre personnel, j’ai toujours trouvé ça un peu vulgaire, mais il faut reconnaître que cela fait son petit effet, surtout associé à ce décolleté absolument vertigineux… Le baratin ...
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