1. 6 juillet - 13 juillet


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, ffh, amour, photofilm, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, couplea3, hff,

    ... chose. Mais que là elles avaient encore réussi à l’étonner. Nous passons ensuite à table. Au cours du repas, à un moment on mentionne le dîner chez mon parrain le soir, de fil en aiguille, il s’avère qu’« oncle Georges » l’a connu pendant la guerre. Quand la zone où il résidait a été libérée, il a rejoint une unité combattante ou mon parrain était capitaine. Il y a aussi connu mon père qui y était commandant. Mon nom lui avait bien dit quelque chose, mais il n’avait pas fait le rapprochement. Je lui apprends que papa, après avoir quitté l’armée en 1960 pour se lancer dans les affaires est mort en Afrique en 1963. Quant à parrain il est maintenant général au SDECE. Je dois lui transmettre ses amitiés. Après les souvenirs, Anne se lance dans les choses sérieuses. Elle annonce les dernières nouvelles, l’agression dont j’ai été victime et qui l’avait organisée, la grossesse de Gwendoline et dans la foulée qu’elle aussi est enceinte et pas de son mari. Elle narre sa dernière entrevue orageuse avec celui-ci. Oncle Georges ne condamne, ni n’approuve, il comprend. Il connaît bien le fils de son ami qui délaisse sa femme, mais voit dans ses secrétaires un vivier dans lequel il n’a qu’à puiser et où il sème des bâtards. Il s’attendait même à ce qu’Anne aille voir ailleurs plus tôt. Mais il n’est pas étonné des réactions de Monsieur Saint Lescure, car comme beaucoup de coureur, il est jaloux. Il enrage d’autant plus qu’il n’est pas en position de force et cerise sur le gâteau ses ...
    ... filles se révoltent contre lui et sa maîtresse assistante préférée le plaque. Par contre il ne s’attendait pas à l’expédition punitive, mais n’est pas surpris qu’il ait songé à essayer de m’acheter, car il ne pense que par l’argent et au pouvoir qu’il donne. Après ces considérations, Oncle Georges me fait parler de moi. Quand je lui dis que je m’apprête à devenir conservateur de bibliothèque. Il imagine très bien mon beau-père piquant une crise en apprenant que non seulement une mais ses deux filles soient tombées amoureuses d’un fonctionnaire sans fortune. Je fais remarquer que si je suis fonctionnaire, je ne suis pas sans le sou. Mon père ayant assez bien réussi dans les affaires après son départ de l’armée, à sa mort l’héritage n’était pas négligeable et il a été complété par celui d’une tante qui avait un poste important dans la banque. Et c’est une part de ces héritages qui m’a permis d’investir dans la boutique. Dominique intervient alors, en parlant avec Carole (entre parenthèse, cela fait bien rire Oncle Georges que l’ex assistante travaille maintenant pour moi), elle a appris que ce que j’appelle la boutique, c’est non seulement le magasin qu’elles connaissent, mais aussi deux unités de fabrication, une en banlieue et l’autre à Strasbourg, le tout employant près de 120 personnes. Anne enchérit : — Et tu possèdes un quart de tout cela !— À dire vrai, c’est un peu plus de la moitié, mes amis n’ayant pas pu investir autant. Mais au départ ce n’était pas aussi important. ...
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