1. 6 juillet - 13 juillet


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, ffh, amour, photofilm, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, couplea3, hff,

    ... L’affaire s’est beaucoup développée depuis la reprise. Mes copains sont pleins d’idées. Ma contribution à l’édifice, autre que financière, a été de les mettre en rapport et de servir d’intermédiaire avec d’anciennes relations de papa dans l’armée et en Afrique Oncle Georges me regarde d’un œil intéressé quand je parle des relations paternelles, avant d’enchaîner : — Et cela ne représente qu’une part de l’héritage ! J’explique qu’au départ j’avais investi en quatre parts à peu égales : la boutique, des actions, de l’immobilier, dont mon logement et des placements monétaires. Maintenant la boutique et les actions (je ne me suis pas trop mal débrouillé à la bourse) représentent à peu près un tiers de mes investissements chacun et les deux autres, à peu près 20% chacun. — Dire que Pierre est persuadé que vous êtes un gueux qui court après l’argent, c’est trop drôle. La fin du repas se passe en discussions moins personnelles. Quand l’invité part il reste encore deux bonnes heures avant l’heure d’arrivée chez mon parrain. Tandis que nous continuons de deviser Anne, Gwendoline et moi, Dominique s’éclipse. Une dizaine de minute plus tard, elle m’appelle pour que je l’aide. Quand je rentre dans sa chambre, je devrais peut être dire son ex-chambre, sortant visiblement de la douche, elle est en peignoir devant une armoire ouverte. — Que penses-tu que je doive mettre ? C’est le genre de question piège. Je parcours les vêtements et opte pour robe jaune, légère, devant lui arriver à ...
    ... mi-cuisse. Elle doit trouver mon choix judicieux car elle sort l’objet. Elle retire alors son peignoir. Elle ne porte qu’un slip. Pas n’importe quel slip, celui fait de sa blanche main. Ne l’ayant pas vue emmener de la maison un sac suffisamment grand pour contenir les deux godes qui occupent leur place, j’en conclus qu’elle a du le porter depuis ce matin. Désignant son harnachement : — Je ne me suis aperçu de rien. Ça ne t’a pas gênée de le porter toute la journée ? Surtout que nous avons été beaucoup assis.— Non ça a été. Après un silence elle ajoute en rosissant :— C’est pour préparer mon petit trou. Elle s’approche, m’embrasse longuement en se serrant et en me caressant au niveau de la braguette. Ma queue se met au garde à vous. Constatant que je suis dans de bonnes dispositions, elle me murmure avec un petit air canaille : — On a un peu de temps devant nous. Avant que je réponde, elle me cloue les lèvres d’un nouveau baiser et défait mon pantalon. Je ne peux répondre, mais je partage son avis. Nous nous retrouvons rapidement sur le lit pour un 69 endiablé. Sachant ce qu’elle désire, j’insiste sur sa rosette. J’entends un bruit, mais je suis trop occupé pour y prêter attention. En l’entendant de nouveau, je dresse la tête pour voir Gwendoline munie d’un appareil photo. C’est le bruit du déclencheur qui a attiré mon attention. — Continuez. Faites comme si je n’étais pas là. Elle en a de bonnes. Cela refroidit un peu mes ardeurs. Je préfère être en quatre yeux pour ce genre de ...