6 juillet - 13 juillet
Datte: 03/10/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
amour,
photofilm,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couplea3,
hff,
... jeux. Dominique qui s’est aperçue de l’effet que l’arrivée de sa sœur a sur moi me quémande d’une voix enjôleuse : — Elle a raison. Oublie-la. Continue s’il-te plait. Elle-même se remet à l’ouvrage avec détermination. Je me laisse entraîner. Mais le clic-clac de l’obturateur me rappelle la présence de Gwendoline et cela me trouble quelque peu. Dominique se met à quatre pattes sur le lit, glissant au passage dans ma main un petit flacon d’huile d’amande douce. L’invite est on ne peu plus claire, la voie usuelle étant déjà largement et naturellement lubrifiée. C’est donc à la voie étroite que je m’attaque. Après une préparation minutieuse, je pointe mon sexe vers ce qui lui est offert. Il rentre doucement. Je me rends vite compte que malgré ses efforts Dominique a du mal à absorber l’objet. Elle insiste pour que je poursuive. Je continue donc un peu, mais rapidement, je préfère arrêter les frais. Quand je la redresse, son vissage est baigné de larmes. Je la prends sur mes genoux et la câline en lui disant qu’il faut mieux ne pas insister outre mesure, ne rien brusquer, je ne vois pas le plaisir à la retrouver en pleurs. Ni pour elle, ni pour moi. Sa sœur, qui a laissé tomber son appareil, se joint à moi pour la consoler, lui faisant remarquer entre autre que si elle a du mal à se faire enculer, par contre pour sucer elle est championne, elle ne sait pas comment elle peut autant m’avaler sans avoir des nausées. Avec tout ça l’heure a tourné, il est temps de partir. ...
... Dominique met un slip conventionnel, son fondement étant un tant soi peu douloureux. L’autre se trouvant relégué, loin de son nid douillet, dans un sac. S’étant rendue compte de ma réaction plutôt fraîche à son entrée en scène, Gwendoline argumente que se doutant que sa sœur m’avait attiré pour un moment câlin, elle voulait nous faire la surprise de prendre une série de photo. Elle pensait que ce serait bien si je n’avais pas à m’occuper de l’appareil en même temps que d’elle. Bon passons. C’est Isabelle la maîtresse de maison qui nous ouvre. Nous lui offrons les fleurs que nous avons achetées en venant. Nous passons directement à table. En plus de mon parrain et de sa femme quatre de leurs enfants sont là : Alain d’un an plus âgé que moi, militaire comme papa, profite d’une permission pour rendre visite à la famille, Delphine, Nathalie et la cadette Ophélie. L’aîné Patrick est actuellement attaché d’ambassade en Turquie. Quand à Mathilde elle termine sa formation d’officier dans l’Armée de l’air. C’est Ophélie, du haut de ses 15 ans, qui pose, malgré les gros yeux de son père, les questions quand à notre situation à mes petites chéries et à moi. Nous servons le même récit qu’à nos autres relations. In fine Patrick fait remarquer qu’on devrait interdire à ses sœurs de continuer à me fréquenter, pour ne pas qu’elles tombent dans les filets d’un redoutable séducteur. Nathalie fait alors remarquer qu’il n’a rien à lui interdire, qu’elle succombe à qui elle veut. Pour que les filles ...