Impardonnable !
Datte: 20/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
lunettes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
... où un homme et une femme savent qu’ils se plaisent mutuellement, nos doutes sont levés. Anne multiplie les coups m’offrant une vue superbe sur son décolleté ou sur ses fesses. À chaque seconde, je jouis de l’instant présent en m’interdisant de la toucher. J’aimerais lui rendre la pareille, mais elle ne rate quasiment aucun coup. Nos verres se vident rapidement et finissent de nous enivrer. L’une des rares fois où je joue, en clair, quand je casse le jeu, Anne passe derrière moi et son corps frôle mes fesses. Si déstabilisé, je rate ce casse. Les billes sont à peine éparpillées sur le billard. Seule la noire se retrouve juste devant un des trous. Comme je n’ai rentré aucune bille, c’est à Anne de reprendre la main. Anne joue en m’offrant à nouveau une vue imprenable sur sa poitrine. Mais pour une fois mon regard ne faiblit pas et reste plongé dans le sien. Elle joue et je ne sais comment, elle faute en rentrant la noire. La partie est perdue pour elle. Volontairement, je ne sais pas, mais il y a de fortes chances ! Je la regarde et lui propose d’aller faire un tour. Anne sourit. Visiblement, elle aussi n’a plus envie de jouer à ce jeu. —o[]o— Dehors, nous décidons de rentrer et marchons tranquillement vers son appartement. Le ton est léger et nous discutons de son entretien. Une société de forte renommée l’a contactée et s’intéresse à son profil. Au fil de notre promenade nocturne, je comprends que cet entretien s’est très bien passé. Une quinzaine de minutes plus tard, nous ...
... arrivons sur le perron de son immeuble. Nous y discutons encore cinq bonnes minutes, quand un bruit de fenêtre interrompt Anne. En fermant ses volets, un voisin nous témoigne son agacement dont l’origine est bien sûr nos bavardages. Anne me prend alors la main et m’invite à la suivre. Nous passons sous le porche d’entrée et rejoignons une grande cour intérieure. Entourée d’arcades dans le style Art Nouveau 1900, cette cour éveille ma curiosité d’ancien architecte. — Ah, c’est vrai que tu étais architecte auparavant.— Oui, réponds-je rêveur.— Viens par ici, je vais te faire découvrir quelque chose. Curieux, je suis Anne sous les arcades qui courent le long de l’immeuble Renaud. Nous arrivons sous un porche qui aboutit sur une autre cour, plus petite celle-ci. Sous le porche, Anne m’arrête pour me dire : — Que penses-tu de cette femme ? Regardant autour de nous, je ne remarque aucune statue. Je cherche encore une dizaine de secondes avant de comprendre l’idiot que je suis. — Elle est vraiment magnifique !— Tu trouves ? Vraiment ? me questionne-t-elle.— Son charme est transcendant, elle exhale la légèreté tout en dégageant une confiance et une sérénité inébranlables.— Je la ressens plutôt tendue et inquiète quant à la tournure que vont prendre les évènements.— Oui cette femme est dangereuse pour moi, dis-je alors. Elle pourrait me compromettre, me rendre infidèle. Cela m’inquiète.— Parce que tu crois que l’homme qu’elle regarde n’est pas tout aussi dangereux ? Sa dernière phrase ...