1. Impardonnable !


    Datte: 20/06/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail lunettes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral

    ... m’émeut. Depuis un moment je culpabilise à l’idée des sentiments que j’éprouve pour elle. Je culpabilise à l’idée même de tromper ma femme. Mais, Anne, elle éprouve le même tourment. Je cherche une solution, pour que tout finisse bien. Et la solution que je choisis, la lâcheté du moment présent, ne sera sans doute pas la bonne… Je dépose mes mains sur les hanches d’Anne. Un frisson parcourt son corps, mais elle s’avance d’un petit pas. Encouragé, je dépose mes lèvres sur les siennes en humant les délicieux effluves de son parfum. Sa main glisse et remonte le long de mon dos et enlace ma nuque avec une douceur divine. Notre baiser devient fusionnel, nos langues se mêlent et s’enlacent à leur tour. Mon cœur s’emballe, comble mon corps d’une chaleur bienfaitrice. Délaissant ses fines lèvres, ma bouche court le long de son cou et mes dents mordillent ses trapèzes. Sa peau est si fraîche. Anne laisse échapper un soupir de plaisir avant de m’embrasser le lobe de l’oreille. Des frissons parcourent son corps. Comme pour la réchauffer, mes mains glissent dans son dos et se rejoignent pour mieux l’étreindre. Quant à ses mains, elles dégagent les pans de ma chemise et viennent griffer de leurs ongles mon dos. La décharge d’adrénaline me libère. Agrippant Anne par les fesses je la plaque contre le mur, mais elle n’est pas femme à se laisser faire. Voulant conduire la danse, elle me saisit à son tour, dans une harmonieuse valse, je me retrouve à mon tour dos au mur. Anne contre moi, ...
    ... entrouvre ma chemise et m’embrasse le torse. Ses dents mordillent mes seins pendant que ses mains libèrent mon phallus de sa prison. Il perle déjà du feu qui nous brûle. Le saisissant, elle commence à le caresser. Ses lèvres remontent à mon oreille où Anne me susurre : — Nouveau pari, résisteras-tu plus d’une minute au plaisir de ma bouche ? Orgueilleux, je souris et la provoque en pariant sur plusieurs minutes. Quel idiot ! — Bienheureux prétentieux, s’exclame-t-elle en s’agenouillant. Quand la sensation du premier coup de langue sur le frein remonte, je commence déjà à regretter de ne pas m’être contenté de relever le défi… La culpabilité des premiers instants s’évanouit quand mon regard croise le sien. Son regard me me défie plus, il me conquiert. La force qui s’en échappe me désarçonne. Et quand, entre ses doigts, elle me se saisit, je me prépare déjà à ma défaite et me contente de savourer le plaisir qui m’est offert. Sa bouche passionnée avale enfin mon gland, que ses joues enserrent. C’est au tour de sa langue de le narguer en roulant autour. Son regard est trop envoûtant pour que je le soutienne sans défaillir. Plaquant ma tête contre le mur, je regarde autour de moi, recherchant une bulle d’oxygène. Serait-ce une ombre sous une des arcades ? Serait-ce une branche d’un de ces buissons, ou un chat que nous perturbons dans sa chasse nocturne ? Non, il y a bien quelqu’un qui nous épie. Anne redouble d’effort et pompe vigoureusement ma bite totalement gorgée de sang. Anne ...
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